Inauguration de la Salle des Sports d’Hesdin Labbé

Cela faisait plusieurs mois qu’il en était question, c’est maintenant une certitude, la date et lieu ont été trouvés.

La Municipalité d’Hesdin Labbé, par l’intermédiaire de son Maire M. Pochet, souhaite donner du relief aux cérémonies liées à l’inauguration de leur nouvelle salle de Sport (salle aussi consacrée à la Culture).

Vendredi 27 juin 2008, à l’occasion de ces festivités, l’Orchestre Opal Sinfonietta est invité à présenter un concert inaugural. Cette prestation est offerte à la population locale et des environs. Elles sera réalisée sous les auspices et le soutien
– du Conseil Général du Pas de Calais,
– de la Communauté d’Agglomération du Boulonnais
– de la Commune d’Hesdin Labbé.

le programme

« Musique pour tous : Valses, tangos et chansons françaises »

– Ouverture de Nabucco de Verdi
– Pays Mystique d’Egypte de Kételbey
– la Princesse Czarda d’E. Kalman
– Le train sifflera trois fois
– Totally Tango de P. Martin
– La Mer de Charles Trénet
– Il est 5 h Paris s’éveille de J. Dutronc
– Rêve de Valses d’O. Straus
– Oblivion d’Astor Piazzolla par Claire Saison, violon,
– Valse des Les Patineurs d’E Waldteufel, orchestration F. Bara,
– Tango Argentina d’E. Rosse,
– Ma Liberté de G. Moustaki,
– Orphée aux Enfers de Jacques Offenbach

Les 4ème Choralies de Notre Dame de Calais

Les 4ème Choralies de Notre Dame de Calais

Dimanche 4 mai 2008

Près de 1 000 spectateurs rejoignent cette belle église, toujours en cours de rénovation, pour se metre à l’heure des 4èmes Choralies organisées par l’association pour mla sauvegarde du patrimoine Calaisiens.

Trois Chorales pour débuter le concert : Les Deux Caps, le Lycée Berthelot, Les Enfants de Sangate.
L’émotion secoue le public. Reprenant un répertoire éclectique, ces trois ensembles obtiennent un succès très mérités.

C’est le tour de l’Orchestre Opal Sinfonietta et la Chorale St Joseph.

Le Poème « de Montes y Pampas » de Juan Carlos Grupalli est présenté. Un silence impressionnant entoure le début de l’oeuvre. La méditation du contrebasson, rejoint par la clarinette basse et le basson, peut commencer. Les spectateurs sont entraînés ailleurs, loin de leur pays, et se retrouvent en plein milieu de le Pampas, aux côtés de muletiers qui avancent lentement, lentement.

Une tempête de neige s’annonce?
Une petite flûte tente un air du haut des sommets?
Le choeur peut enfin s’exprimer. D’abord les Hommes, puis les femmes et une mélodie simple, belle, poigante.
Des airs traditionnels argentins s’interposent, le repos des muletiers au bivouac ?

Et encore ce choeur, ce chant, cette simplicité, cet appel à l’Humanité qui résonnent encore et encore, la cloche tinte, c’est le début d’une prière.
Tous les Hommes sont appelés et répondent à cet Hymne à la Paix.
A la fin de l’oeuvre, les spectateurs se reveillent, comprennent, et applaudissent cette belle oeuvre.


François Bocquelet est un chef de choeur réputé, il enchaîne sur une série de choeurs Verdiens extraits de la Traviata, c’est avec efficacité, fougue et une belle maîtrise qu’il dirige l’ensemble.
Le concert s’achève avec un extrait d’Aïda: Gloria all’Egitto. Ah! les fameuses trompettes d’Aïda: quelle fin, quel brio de la Chorale et de l’Orchestre !
Le public, debout pour une longue ovation, est récompensé : une belle interprétration du Choeur des Esclaves Hébreux de Nabucco est proposée. Puis encore la standing ovation, et encore Nabucco…

Les deux ensembles ont réalisé la fusion …. des coeurs, des esprits et de la musique.

Bravo à tous !

Le site est de retour

Comme vous avez pu le constater, le site était inaccessible pendant une semaine, suite à quelques problèmes techniques.
Il est guéri (ouf !) et pour se faire pardonner il vous réservera quelques surprises d’ici un mois (patience !).

L’église de Pernes en travaux

Dans l’attente d’un renouveau.L’église de Pernes qui nous a accueillis durant plusieurs annés est en ce moment fermée au culte et a d’autres manifestations parce qu’elle est en travaux. :
1 – Réfection de la façade et de la couverture :
2 – Installation du chauffage dans l’église.

Le Conseil Général (pour 51 000 Euros) et l’Etat DGE (pour 67 000 Euros) financent les travaux.

En passant le long de la route qui mène à Souverain Moulin, on découvre une création artistique inattendue qui renouvelle le paysage ! Et introduit ce petit rien qui relance l’intérêt visuel. Le tout dans l’attente d’un renouveau.

Un orchestre, une chorale sur un même bateau …

Un orchestre, une chorale sur un même bateau : des patineurs, la mer, la liberté, le tango, l’Argentine, oublier ?…. l’Irlande le temps d’une ballade, et, pour terminer, une polonaise…

Un concert peut se résumer par quelques impressions. Les esprits s’évadent, divaguent, s’en vont, reviennent, se rejoignent, tous réunis autour d’un même sentiment de joie, gaîté, d’amitié.

Que la musique est belle et forte !

Quelques 300 spectateurs ont répondu présents à l’appel de la Lyre Marquisienne pour le concert inaugural du festival des Société Musicales 2008, de la délégation de Boulogne, Confédération Musicale de France.

La Chorale du Caraquet, de Desvres, ouvre le concert, des chansons d’hier et d’aujourd’hui servies par des cœurs vaillants et talentueux sous la direction de Pascal Ducrocq, chef de Chœur souple et efficace.

Puis, une deuxième partie par Opal Sinfonietta, démarrée sous les accents du Strauss français, Emile Waldteufel, ses valses et ses Patineurs : succès garanti. La chanson française : La Mer, Ma Liberté, deux orchestrations vibrantes. Puis les Tango et la pureté limpide du violon de Claire Saison, l’émotion se retient difficilement, le public en redemande….

Les deux chefs Bernard Schneider, Opal Sinfonietta, Pascal Ducrocq se sont accordés pour deux « morceaux en commun » la ballade Irlandaise, glorifiée par Renaud, et Marie la polonaise, hommage de Serge Lama à Marie Walewska, comtesse polonaise tant aimée de Napoléon 1er.

Le public debout acclame, réclame, et reçoit, de nouveau, cette Marie en un revoir grandiose.

Beaucoup d’amitié, de complicité, de musicalité pour une belle soirée brillamment organisée..

Radiomaritime day, la Hongrie présente !

Ce fut sur le site d’Alprech, au Portel. qu’une station radiomaritime fonctionna. Fermée devant la poussée de la modernité, la station a été réanimée pour 24 heurres de contacts (les 12 et 13 avril 208).Une commémoration annuelle est organisée par tous ceux qui ont eu à se servir des radiocommunications. C’était en morse.

Les praticiens se sont réunis sur le site d’Alprech et ont trafiqué en morse comme à la grande époque. Des contacts ont été établis nombreux. Venant des USA, de nombreux pays d’Europe (Danemark, Allemagne, Suède, Norvège…) Et soudain, devant le visiteur curieux… une émission de Hongrie. On demande « Are you far from Szolnok ? ». La réponse vient, « 20 km »…

On attend la carte postale et les coordonnées du radio amateur qui a été contacté. Clin d’oeil à une actualité d’août 2007.

Violons, Valses et Tangos à St Léonard : du plaisir pour tous

Violons, Valses et Tangos : trois mots magiques pour un beau concert marqué du sceau de la musique, de l’amitié et du plaisir.
Les musiciens de l’Opal Sinfonietta sont heureux de se retrouver et de jouer ensemble, c’est très visible. La complicité, la convivialité et la chaleur que dégage l’ensemble se transmettent très rapidement, et, à chaque fois, la fusion entre les musiciens et le public se réalise naturellement.

Dimanche dernier à St Léonard, ce fut une nouvelle fois l’occasion de faire ce même constat. De nombreux spectateurs s’étaient déplacés pour assister au concert.

La salle du Forum de Loisirs aux dimensions satisfaisantes pour l’orchestre avait été préparée par les services techniques de la Communauté d’agglomération du Boulonnais : rideaux noirs, éclairages, aménagement de la scène.

Les musiciens se retrouvèrent pour une journée musicale bien remplie : répétition générale le matin, repas le midi (organisé par Martine et Franco, un grand merci à eux deux !), concert à17h00.


La Mairie de St Léonard, organisatrice du spectacle, souhaita un programme festif.

Le Président Damotte dans sa présentation
se servit des poèmes écrits par la
poétesse Francine Gregson

L’ouverture d’Orphée au Enfers servit d’introduction ; bien enlevée pour mériter l’accompagnement du public lors du célèbre galop conclusif. Ensuite, Emmanuel Gorge, dans la Légende de Wienawski, avec brio et maîtrise, fit ressortir toute la sensibilité d’un compositeur tourmenté et romantique.

L’Orchestre entama quelques tangos, quelques valses : tout pour satisfaire un auditoire ravi, Claire saison, et Oblivion d’A. Piazzolla pour ne pas oublier que le violon est un superbe instrument lorsqu’il est si bien servi.

On pouvait noter parmi les musiciens de l’Orchestre, la présence de deux musiciens du Conservatoire Royal de Bruxelles, Isabelle et Laurent Corsyn, et deux autres, tout aussi remarquables, Marie-Catherine Huggony et Herrman Vernalde, de l’Orchestre Universitaire de Picardie, fruit des relations inter régionnales qu’Opal Sinfonietta a noué ces dernières années.

Bravo à la Municipalité de St Léonard pour ce magnifique après-midi.