ANNIE PUBLIE SON AGENDA
Il faut juste changer de rubrique.Pour retrouver l’agenda d’ ANNIE aller sur » ACTIVITES » et pointer » AGENDA « .
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Marie Catherine, et devant, Frédéric. Au fond, lamaîtrise des enfants.
ANNIE ENCORE ET EN CHOEURS
Charlotte Milochevitch, est Louise.
La maîtrise. Les enfants sont entousiasmés et participent avec foi.
L’orchestre Opal Sinfonietta.
Les choeurs interviennent. Comme des récitants.
Au centre de l’image, Marie-Catherine Honvalt, et fondu dans l’orchestre, à l’alto, le compositeur Frédéric Bara
Ambiance dans l’orchestre et les choeurs.
Les mains inspirées d’Olivier Demarcq.
Et quelques notes d’ambiance !
ANNIE, LE SOUVENIR EBLOUI DE FREDERIC
Un jour on a demandé à des observateurs d’une oeuvre peinte ce qu’ils en pensaient….Dans des tons de vue aérienne, avec taches et filés de couleurs l’oeuvre se prêtait aux interprétations. Qu’en penser ? L’un des observateurs, questionné, livra cette opinion : » On dirait une vue aérienne, ça ressemble à Boulogne. Ici on voit la mer, ah oui, le port, et… là… oui la Liane … » Un temps de réflexion et » Tout y est, mais rien n’est à sa place « .
C’est pareil pour Annie millionnaire
Questionné, notre compositeur Frédéric Bara a livré son secret. » J’avais vu le film en ciné club et l’histoire m’avait plu « . « J’en avais gardé un souvenir fort ». Il évoque cete soirée d’été de 1995, cheminant dans les rues de Versailles, encore ébloui par l’histoire. Elle propose, dans le style New Yorkais, une fable basée sur l’entraide des petites gens. Ca ne va pas sans rudesse, mais Annie aura sa fête pour l’amour de sa fille.
Et un jour, il y eut une proposition de réaliser un spectacle à Faches Thumesnil. Alors la belle histoire lui trottant dans la tête, il entreprit la composition de la musique et de l’intrigue ».
Il aurait voulu se baser sur la relecture du film. Il a tenté de retrouver ce film, en vain. Les copies n’existaient pas à cette époque. On est à la charnière des années 90-2000.
Un souvenir tenace
C’est donc tout naturellement, que l’histoire » Lady for a day » « lui tournant dans la tête », Frédéric reprit ses souvenirs et reconstitua l’atmosphère du film. Tant mieux ! On a affaire à une relecture de l’histoire, avec des situations nouvelles, On a le fil, plus ou moins, mais pas la même couleur de la laine !
Les personnages il les réinventa selon son fil De l’oeuvre de Capra. Oui, tout y est, mais rien n’est à sa place. Et c’est une chance. Car sur le canevas, Annie, et tous les personnages qui l’entourent, Paolo, sa fille Louise, le comte Romero, tous les comparsese, reprennent une autre vie. Ils ont pris une autre densité. Les personnages de Frédéric Bara font joliment progresser l’intrigue jusqu’à sa réussite finale.
Une musique attachante
C’est une composition tout à fait originale. Elle s’exprime en vingt chants, Elle se partage entre choeurs, maîtrise, et une belle part est offerte aux deux rôles chantés. Celui d’Annie (Marie-Catherine Honvault), mezzo soprano ; celui de Paolo, (Grégory Duncan), baryton. Annie et Paolo sont à l’aise dans leur rôle chanté. Et les choeurs alors…
Au 3e acte, apparaissent, (après un long voyage transatantique) Louise (Charlotte Milochevich), soprano ; Le comte Romero (Marc Schneider), ténor.
Pour Louise, dommage qu’elle n’apparaisse qu’au dernier acte ! Même réflexion pour le comte Romero…
Voici une musique qui est attachante et qui puise ses sources dans des genres musicaux divers, valse ou jota aragonaise, polonaise, dansante, triste, . Elle précède souligne ou confirme les situations.
Et les acteurs ?
Il y a de nombreux rôles parlés. Ils apportent leur couleur et les interprètes ont des « rôles de composition ». Camper une demi-mondaine c’est aller à contre courant. D’autre rôles sont plus faciles et un simple glissement permet d’en imposer. N’est-ce pas Olivier, qui devient Hardy, le lieutenant de police… ? Un autre Olivier sera à l’aise sous son chapeau et son imper impersonnel !
Ca balance pas mal à Boulogne !
En photo, le trio réuni à la fin de la répétition des choeurs et orchestre, du jeudi 4 novembre au soir, au conservatoire de Boulogne. On y retrouve Grégory, Frédéric et Marie Catherine.
ANNIE, EN TROIS ACTES
Chacun est attentif à son rôle. Renaud Sorel, metteur en scène, et Bernard Schneider, chef de l’orchestre Opal sinfonietta observent les jeux d’acteurs. Renaud Sorel donne des indications pour les jeux de scène. Et Bernard Schneider, la partition devant lui, suit pas à pas l’avance de l’intrigue. Pour lui même les paroles sont musique, car il devra lancer les musiques au moment de la dernière réplique. Pour les deux c’est un travail d’ajustage.
ANNIE fait l’éloge de la pomme .
Appauvrie mais anime une famille d’enfants des rues. t
L’épicier Parsley affirme au Lieutenant Hardy qu’il a donné des bonbons aux enfants. La “protection” de Paolo a bien joué.
Le directeur de l’hôtel : Eh là ! Ho ho !
Annie, surprise enseommeillée : Où suis-je
Annie a encore ses vêtements de marchande de pommes; et elle se dit Mrs Worthington… Une plaisanterie ?
Lulu la Frégate s’est vue décerner le titre de comtesse par Paolo. Et elle découvre que Térésa a été nommée duchesse. Jalousie !… Vite calmée par l’habile Paolo. “Une comtesse commande tout un comté, alors que duchesse…”
Il faut imaginer Annie, en robe élégante : Gràce à vous je suis milady pour un soir !
Lulu la Frégate devenue comtesse croit au miracle, elle épouserait le Comte Romero ? Serait-ce possible ? Elle confie à son ami Paolo : « Le Comte m’a dit : « Toi du mé plais, yé t’épouse »
ANNIE DANS L’ORCHESTRE A CHOEUR
Jeudi 28 octobre (2010), l’ancienne salle des fetes de Condette est pleine à craquer. 70 personnes, choristes et musiciens sont rassemblés.
Opal Sinfonietta a déjà répété la musique de Frédéric Bara, l’auteur.
De leur côté, les choristes ont travaillé les mélodies avec, au piano, tantôt Olivier Demarcq, tantôt Frédéric Bara lui-même. Cette séance a permis d’accorder les violons (si l’on ose écrire ?).
Vingt airs
On a passé en revue les airs (il y en a vingt) qui sont dans le scénario. Paolo, illustré par le baryton Grégory Duncan, est toujours aussi volontaire et vengeur, mais pose un regard philosophique sur sa destinée. Eh oui, Paolo, la vie est difficile… Les marchands de la place du marché vantent leurs produits, pas chers, pas chers… et le beau Comte Romero, posé par Marc Schneider, vante avec emphase la beauté et la facilité de la vie dans sa chère Espagne.
Les textes sont agréables, et la musique les accompagne avec beaucoup de légéreté, de bonne humeur, et une facilité apparente. Pourtant, on vous l’assure, il y aura des tubes que l’on fredonnera en ville.
Encore une semaine et on sera vite au 14 novembre .
Dossier photo de cette répétition « plénière ».
Au centre, Frédéric Bara.
ANNIE S’AFFICHE GRANDE !
A certains endroits stratégiques, l’affiche aura grandi pour occuper TOUTE la place. Annie grandit.
Le soutien de la commune apporte à la production le bénéfice d’un affichage en ville, de grande taille lui aussi.
Et là devant le théâtre. Une partie de la troupe est réunie.
Pour les réservations, on trouve un signe sur le comptoir des commerçants. “Réservation ici”. (voir le sous titre « Annie OU RESERVER ».
LA CAPELLE, magnifique concert
Nous avions repris le programme « Argentin » que nous avions prodit au cours des neuf concerts que nous aovns donnés en Argentine.Les photos qui suivent sont du « Canon » de Monsieur Briois, conseiller municipal à la Capelle. Il a restitué bien plus qu’une description. On peut retrouver son article dans le site qui évoque la vie de « La Capelle les boulogne ».
L’affiche reproduit une partie d’un tableau de Maurice Demilly.
Ci après les photos sélectionnées.
ANNIE, OU RESERVER SES ENTREES
Le placement sera libre…
Et les organisateurs espèrent la cohue à l’entrée… Pour l’éviter, prenez vos billets à l’avance. Pour vous éviter une attente à la caisse, le mieux est de retenir les billets à l’avance et de les présenter sans attente à l’entrée au théâtre Monsigny à Boulogne.
L’INFORMATION
Vous trouverez sur le comptoir de votre commerçant cette affichette dans son présentoir. Vous serez donc informé qu’on peut réserver ici .
TARIFS :
La place à 12 Euros.
Enfants, 8 Euros, gratuit pour moins de 12 ans.
Chèque en réglement à faire à l’ordre de KIWANIS , L’association qui organise la production » Annie millionnaire …. » au profit de l’UNICEF
LA LISTE DES COMMERCES
Vous trouverez les adresses à BOULOGNE SUR MER et à WIMEREUX. La liste n’est pas terminée.
Par sympathie, ces commerçants tiennent à votre disposition les billets d’entrée. Nous les remercions d’avoir bien voulu nous soutenir.
THÉÂTRE MUNICIPAL MONSIGNY, dans le hall d’entrée.
JACADI , 36 rue Nationale, BOULOGNE SUR MER.
Tél 03 21 83 29 27
LIBRAIRIE L’HORIZON , 8 bld de Clocheville, BOULOGNE SUR MER
Tel / 03 21 33 25 87
ENTRE MER ET TERROIR . Anciennement Entre Sel et Terre,
53 rue Nationale, BOULOGNE SUR MER
Tel 03 21 30 21 37
PHILDAR , 13 Grande Rue, BOULOGNE SUR MER.
Tel : 03 21 31 47 06
LIBRAIRIE PAPETERIE DU DERNIER SOU , 1 Avenue du Général de Gaulle, BOULOGNE SUR MER
L’ESPÉRANCE , Mme Josiane Bessin. 93 rue Carnot, WIMEREUX
LA SABLIÈRE , 68 rue Carnot, WIMEREUX.
Ets FARRANDS , 8, rue Haffreingue à SAINT ETIENNE AU MONT
L’ARC EN FLEURS , 15 ter, rue du Docteur Croquelois à SAINT LEONARD
ANNIE, REPETITION ET
Ces mille petits détails qui vont faire décoller les scènes.Cette répétition du 26 octobre 2010 se situe très près de la date de la première. On ne le répétera jamais assez, ce sera pour le 14 novembre , et nous sommes le 26 octobre. Nosu ferons vivre au public qui viendra un fameux moment dominical.
Montée en puissance
Encore un mardi et un jeudi (2 et 4 novemnre) et soudain, toute la troupe ayant appris son rôle, et les situations, et les gestes qui vont avec, va se retrouver sur la scène du théâtre pour les ultimes séances, et pas question de déroger. Le temps est pris pour tous : Répétitions les 9, 10, 11, 12, 13 selon des horaires sans concessions. « L’effet de groupe » joue à plein et une unité se forme.
L’affinage
Alors avec Renaud Sorel – metteur en scène – on affine les jeux de scène, et de plus en plus on fait confiance à sa mémoire et presque plus au texte. Oh il est encore là le texte, pour rassurer, mais le jour « J »… Alors là, alors là ! Oui, nous serons prêts.
Le moment idéal
Déjà quelques apparitions sont au point, et on travaille les scènes dans le désordre. C’est voulu. Il y a de nomnbreux points clés qu’il ne faut surtout pas manquer. Par exemple, cette séance de présentation des faux membres de la « gentry », ou la rencontre entre le vrai Comte Romero, Lulu la Frégate qui se dit marquise, et Paolo qui affirme sans broncher quil est « prince de la Pègre » (vieille noblesse sicilienne….).
Il y sera question de la dot car il y a projet de mariage entre le Comte et la Marquise. Qui la paiera (la dot) ? Pas ce tricheur de Paolo, naturellement, et le Comte qui n’y connaît rien, laisse aller la roublardise de son hôte,
J’offre le champagne
Et enfin une belle note rassurante lorsque tout étant si joliment conclu, le professeur de maintien, de Paris… s’écrie dans l’enthousiasme « J’offre le Chapagne ». C’est sûr qu’il va faire boire tout son cachet.
Ce qui précède est la description très libre des dernières scènes. Et soudain, le groupe se recentre sur l’acte I.
Dernière ligne droite
On le sent, on est dans « la dernière ligne droite ». Le groupe est plus complet. Il se reverra encore pour la répétition de jeudi (28 octobre 2010) à l’ancienne salle des fêtes de Condette. Avec les acteurs, il y aura les choeurs, les chanteurs, les musiciens. Une mise au point ensemble. Il y aura encore mille détails qui vont distinguer… euh l’amateur avisé du… bafouilleur. Comme soigner son entrée par exemple ! Et puis le temps va encore accélérer, et les journées des 9 au 13 novembre seront vécues intensément. (voir plus haut)
Voici le dossier photos