ANNIE : C’est Noël
ANNIE : C’est Noël
ANNIE : C’est Noël
ANNIE : C’est Noël
ANNIE : C’est Noël
ANNIE : C’est Noël
ANNIE, « Les beaux jours vont refleurir… »
Une soirée inoubliable, c’est Noël… Dans un élan sublime, Jacques-Yves de la Rivière lancera : « J’offre le Champagne »… L’athmosphère se détend…. .
….Se détend dans le script, Mais aussi dane le groupe qui trouve ses marques et ajuste ses répliques.
La répétition explore les deux derniers actes. Après les soucis de police, car le Lieutenant Hardy, menaçant, voit s’échapper les plaignants. Et encore les doutes, puisque Paolo, inquièté, retrouve « la marchandise »… voici que tout s’organise. Les acolytes de Paolo (Môssieu Provolone) parés de costumes qui leur confèrent une apparence de respectabilité, jouent à la bonne société. Ils vont éblouir le Comte Romero et son fils qui doit épouser Louise la fille d’Annie.
Jeux de scène
Renaud Sorel est attentif et conseille. Les attitudes seront telles qu’on devinera qui est sous les petites écailles du vernis qui craque. D’où le dossier photo qui suit.
Photos
Annie, elle sera reine d’un soir.
Le policier, lieutenant Hardy, c’est Olivier0 Il trouve commode de laisser les gangsters régler leurs comptes sans lui.
Valley, « le porte flingue ».
Olivier lui, quand il ne joue pas, devient Giorgio Gorgonzola. Encore un pote à Paolo.
La bande à Paolo… Avec à gauche Paolo, à l’autorité indiscutée? Il en impose à tout le monde ! A droite le professeur de maintien, qui peu à peu en vient à utiliser les manières de ceux qu’il veut éduquer.
Et Teresa la Tigresse, en Comtesse fait des manières.
Monsieur de bonnes manières… En arrière plan, le directeur de l’hôtel annonce les « personnalités »
Quant à Lulu la Frégate, elle trouve que tout ça n’a pas de sens et ne cache pas ses sentiments.
C’était la fête en Argentine
Sous les latitudes australes, les saisons sont inversées. C’est le printemps
Mes chers amis,
On fête ici le commencement du printemps mais en France on fête le jour de la Musique.
Donc je tiens à vous adresser une salutation spéciale, mes chers amis musiciens et membres d’Opal Sinfonietta. Je vous évoque tous, vous qu’en permanence restez dans mon coeur.
Je pense que vous vous rencontreriez aujourd’hui pour fêter la Musique et le succès d’Opal Sinfonietta et pour approfondir vos liens d’amitié. Permettez-vous que je sois présent en esprit.
Je vous embrasse.
Salut !
Juan
ANNIE, chanson espagnole
On arrive à la conclusion de l’oeuvre « ANNIE, millionnaire d’un soir ». Les répétitions coninuent mais on déchiffre l’écriture de Frédéric Bara. Romero tout à son bonheur
Le Comte Romero croit trouver la femme idéale américaine. quant au fils du Comte il va épouser Louise la fille d’Annie, alias Mrs Worthington. Annie, modeste vendeuse de pommes (qui portent bonheur, tout de même) vit le rêve de Cendrillon. Elle va être pour un soir seulement, une richissime hôtesse pour sa fille, et la famille Romero. Les noces se préparent.
Il raconte la vie là bas, en Navarre :
Les Espagnols, sitôt que le soleil brille
Commencent à danser sur les places à Séville.
Sans s’arrêter du matin jusqu’au soir
Les Espagnols dansent au son des guitares
En Navarre.
Et la suite permet d’évoquer villes et provinces : Murcie, Leon, Valence, Andalousie, Galice. Musique joyeuse.
Les notes s’envolent
Marc Schneider connaît le texte en six strophes. Il l’exprime pleinement.
La répétition dure deux heures mais cette séquence a été vécue dans le dernier quart d’heure. C’est charmeur et évocateur.
Le désordre
Le lecteur aura du mal à s’y reconnaître ! En effet, la trame de l’intrigue est délivrée dans le désordre par l’auteur de ces articles. Pour comprendre l’oeuvre il faudra venir au théâtre le 14 novembre. Comme il sied, le premier acte – il faut arriver à l’heure – expose la situation et présente les personnages… Ceux-ci interviendront, à chacun son caractère…
DOSSIER PHOTO