Quiberon
les blagues d’Altiste
Nos amis ,les altistes, ont beaucoup d’humour, ils savent aussi rire d’eux-même.
A la demande de certaines d’entre eux, vous pourrez découvrir un condensé de tout ce qui se dit à leur égard. Ce document est issu du site, par ailleurs très sérieux, des « Amis de l’Alto ».Grande anthologie des blagues d’altiste
C’est bien connu, les altistes sont devenus le bouc-émissaire favori des orchestres. Il en fallait bien un, et ce sont les altistes, généreux et altruistes qu’ils sont, qui s’y collent.
Comme les altistes ont évidemment un sens aigu de l’humour et de l’autodérision, ce sont finalement eux qui racontent le plus volontiers les blagues les concernant.
Voici donc un travail d’ordre purement sociologique – bien entendu -, consistant à recueillir l’ensemble des blagues d’altiste, par pure curiosité scientifique – bien entendu.
Par conséquent, si vous en avez des inédites, hop : faites-nous en part !
Commençons par les meilleures :
-Pourquoi l’alto paraît-il plus gros que le violon ?
Par illusion d’optique : c’est en fait la tête des violonistes qui est beaucoup plus grosse.
-Pourquoi les blagues d’altistes sont-elles très courtes ?
Pour que les violonistes puissent les comprendre.
Après cette excellente mise en bouche, rentrons dans le vif du sujet :
-Quelle est la différence entre le premier et le dernier pupitre d’alto dans un orchestre ?
Environ un demi-ton.
-Comment faire faire un trémolo à un pupitre d’alto ?
Écrire une ronde, et au-dessus : soli.
-Comment faire faire un trille à un pupitre d’alto ?
Écrire simplement des doubles croches.
-Un altiste vient se plaindre à son chef d’orchestre :
«Chef, le hautboïste, il fait rien qu’à me désaccorder une corde !
– Hé ben, mais qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, ré-accordez votre corde, mon vieux !
– Mais il veut pas me dire laquelle ! »
-Quelle est la différence entre le pupitre d’alto de l’orchestre national et les Beattles ?
Aucune, ça fait 40 ans qu’ils n’ont pas joué ensemble.
-Petite annonce : à vendre, alto, état neuf au-dessus de la troisième position.
-À l’opéra, cinq minutes avant la première d’une production prestigieuse, l’administrateur apprend que le chef prévu est gravement malade, hospitalisé pour deux semaines. Devant l’impossibilité d’annuler et, par malchance suprême, l’absence de tout autre chef disponible, il se résout à venir devant l’orchestre qui attend dans la fosse, pour exposer la situation, et demander, la mort dans l’âme, si un musicien de l’orchestre ne pourrait pas faire office de chef pour dépanner. Silence total.
Et puis, au dernier pupitre d’alto, un altiste lève la main : « je peux essayer si vous voulez». Silence total, tout le monde est blanc comme un linge : on court à la catastrophe totale.
Mais le public s’impatiente, l’administrateur n’a pas le choix, et se dit «à la grâce de Dieu…». L’altiste monte donc sur l’estrade, fait la levée de départ, et… c’est le miracle ! Une gestuelle précise, un sens merveilleux des nuances et du tempo, un accompagnement sensible des chanteurs, un enthousiasme énergique : les musiciens de l’orchestre, ravis, se rendent à l’évidence, c’est un chef exceptionnel, et même meilleur que celui qui était prévu ! Le public ne s’y trompe pas, réserve une ovation à l’altiste devenu chef lors des saluts, et le succès dure le temps de deux semaines de représentation, chaque soir, le même miracle musical s’accomplissant.
Malheureusement, vient le temps où le chef prévu et alité, une fois rétabli, doit revenir pour honorer son contrat. L’altiste retourne donc à sa place, au dernier pupitre. Son collègue, alors, le voyant s’asseoir à côté de lui, s’étonne :
«Ha ben, te revoilà ! T’étais passé où, pendant tout ce temps ?»
-Concours d’orchestre, poste d’alto tuttiste : premier tour, ouvrir la boîte d’alto. Deuxième tour, tendre l’archet. Troisième tour : la même chose, mais par cœur.
-Quelle est la différence entre un altiste et une prostituée ?
La prostituée connaît plusieurs positions, elle.
-Les musiciens d’un orchestre sont intrigués par le petit cérémonial de l’alto solo. Tous les matins, avant le début de la répétition, il sort un petit papier de la poche de sa veste, le déplie, le lit, le range, puis ouvre sa boîte et se met normalement à jouer. Un jour, ils réussissent à détourner son attention pour pouvoir chiper le petit papier de sa poche. Sur le papier, ils lisent alors :
«Alto : main gauche, archet : main droite».
-Un chef d’orchestre trouve une lampe magique. Il la frotte, et un génie apparaît.
«Tu as droit à un vœu ! dit le génie au chef d’orchestre.
Le chef, ravi, ébloui, s’écrie alors :
– Je veux la paix dans le monde, pour toujours !
– Heuuu… Ouais, enfin, là, c’est quand même un peu compliqué, faudrait quelque chose de plus simple, tu vois…
– Ha, bon, zut alors… Alors, disons, la paix dans le conflit israelo-palestitien, au moins !
– Mmmmmh… Attends, attends, tu te rends pas compte, c’est vraiment trop complexe cette histoire là, non, désolé, tu dois choisir quelque chose de plus simple…
– Rhââââ, zut ! Bon, bon… Heuuu… Hé bien alors, voilà, autre chose : je suis chef d’orchestre, j’ai un très bon orchestre, sauf le pupitre d’alto, c’est un désastre, je ne sais plus quoi faire… Voilà, je voudrais que mon pupitre d’alto joue au niveau de l’orchestre !
– Mmmmmh… Mmmmmouaiiiiis… c’était quoi ton histoire d’israelo-palestiniens, déjà ?»
-Un altiste étudiant est poussé par son professeur, qui trouve qu’il a vraiment des qualités exceptionnelles.
Il passe donc le concours d’alto tuttiste de l’orchestre régional de Sucy-en-Brie, et le réussit, alors même qu’il n’a que 28 ans (dingue) ! Mais tous ses collègues trouvent qu’il est vraiment doué, et le poussent à tenter, l’année suivante, le poste d’alto solo, qu’il réussit sans problème. Remarqué par un chef qui le complimente et l’assure qu’il n’est pas à sa place dans cet orchestre, il postule carrément à l’orchestre philarmonique de Berlin. Il rentre à l’unanimité.
Là-bas, tout le monde l’assure qu’il a un grand talent, et les plus illustres professeurs le font travailler, si bien qu’il réussit le concours d’alto solo. Mais là encore, les plus grands chefs d’orchestre l’exhortent à continuer sa carrière et à ne pas s’arrêter en si bon chemin. Et c’est après un dur labeur et des heures de travail qu’il réussit enfin à entrer second violon du rang à l’orchestre régional de Sucy-en Brie.
-Petite annonce : quatuor prestigieux cherche 2 violons et un violoncelle. (merci à Maxence)
-Lors d’une soirée de gala organisée en l’honneur d’un grand orchestre, les musiciens discutent, chantonnent, se marrent mais surtout, ils profitent du buffet. Et justement à une petite table ornée d’un ponch et d’un plateau de petits cubes de fromage, un Violoniste, deux altistes dont le soliste, extrêmement doué, et un contrebassiste se disputent les cubes au saumon. Alors que la montagne de fromage diminue fortement, après une offensive des cuivres, apparait un billet de 100 balles, perdu là par on ne sais qui.
Les musiciens se regardent en les uns les autres en chien de faïence lorsque la lumière s’éteint pour que le chef, auréolé de la lumière d’un spot fasse son discours au cours duquel le maire aura aussi deux trois choses a dire…
Lorsque la lumière se rallume, le billet a disparu.
Qui a bien pu le subtiliser ? (au lieu d’écouter le chef !)
Le violoniste, un verre à la main, s’en défend :
« Un violoniste ne se déplace pas pour 100 balles. »
Le contrebassiste n’a quand à lui toujours pas compris ce qui s’est passé :
« Quoi ? Un billet ? quel billet ? mais de quoi vous parlez ? »
Les regards se tournent alors vers l’altiste du rang, qui a forcément chipé le billet puisque, nous le savons tous, un altiste extrêmement doué ça n’existe pas.
(merci à Raphaël)
-C’est un second violon du dernier rang et un altiste qui discute.
Le violoniste vante le répertoire du violon: « ha tous les grands compositeurs ont écrit pour le violon Brahms, Mozart, Beethoven… vraiment tous ces magnifiques concertos, vraiment … c’est sûr que vous à l’alto vous n’avez pas tout ça. »
L’altiste répond: « oui mais t’as déjà vu un concerto pour second violon ? » (merci à Peis)
LE CALME PLAT
Le calme plat… Pour l’avenir de la musique en Europe, il faudra compter sur l’aide de Dieu.
Le calme plat
Pour l’avenir de la musique en Europe, il faudra compter sur l’aide de Dieu.
Nous manquons terriblement d’originalité et d’inventivité, de réponse, d’enthousiasme lorsque nous réfléchissons à l’avenir. Une issue se présente alors à nous, celle de l’éparpillement, alors que nous avons besoin de nous concentrer (écouter ne veut pas dire entendre).
Aussi, j’aimerais réagir à ce qui fait de nous des auditeurs du pluriel de la musique plus que des personnes à l’écoute d’une identité (au singulier) riche pour l’imagination.
Nous acceptons de phénomènes sensationnels, voire extraordinaires, qu’ils nous éblouissent, nous satisfassent instantanément, sans reconnaître par là un goût naissant pour un objet particulier. Le phénomène peut être incompréhensible, il ne nous dérange pas. Mais ce mur infranchissable dû à l’éblouissement, nous le subissons.
Alors il est parfois plus facile de parler du passé que de formuler des phrases arrêtant l’avenir.
Nous nous en réduisons donc à constater que nous sommes attachés à l’extraordinaire, sans contrainte.
Le goût pour les intensités sonores fortes, les rythmes répétitifs et les envolées non contrôlées de sons synthétiques nous vient d’un engouement général pour ce qui nous emporte loin et nous détache de la réalité.
Mais, qu’est-ce que serait la musique sans le calme?
A mon avis, rien!
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Jehan Saison,
18 02 2010
Mots d’amour secrets
Inspirés par la célèbre lettre d’amour codée de George Sand à Alfred de Musset, les auteurs (Jacques Perry-Salkow et Frédéric Schmitter) ont à leur tour créé des jeux littéraires. Pour inciter les lecteurs à déchiffrer, à deux ou à plusieurs, les messages qu’ils ont dissimulés, acrostiches, ambigrammes, homophonies et autres rébus typographiques sont au rendez-vous de ce petit livre savoureux, brillant et extrêmement ludique. – Jacques Perry-Salkow est pianiste, compositeur et poète.
Il est l’auteur de deux recueils d’anagrammes parus au Seuil, Le Pékinois et Anagrammes pour sourire et rêver. Frédéric Schmitter publie ses textes dans diverses revues et sur Internet. Passionnés de littérature à contraintes, ils sont les auteurs de Sorel Éros, conte poétique et palindrome de dix mille lettres !
Frédéric Schmitter était à Leclerc pour une séance de signatures. Outre les cent pages d’écrits qu’on lit rapidement – à livre ouvert ! – il propose en annexes la définition des mots rares et chargés de signification… et les corrigés ! C’est bien utile. Et on lit – à livre ouvert ! – ravis, les écrits tapis sous les plis des homophonies qu’on a repris !
Son site internet…
www.frederic.schmitter.perso.sfr.fr
Au marché de Noël, Zweibrücken tenait un stand
Nos amis du Palatinat nous on délégué une charmante hôtesse du bureau de tourisme. Suzana accueillait et renseignait.Une énorme animation régnait samedi après-midi et il était toujours facile de choisir, quand même, le vin chaud, qui revigorait en ce premier jour de vent d’est apportant les températures… « énergiques ». Maints souvenirs, objets peu ordinaires, autres offres exotiques ou locales ont fait le bonheur des chalands. Une animation parlée faisait encore plus vibrer l’air de fête qui régnait.
Donc « la cité des roses » était présente et la vidéo du stand montrait les meilleurs côtés de la ville.
Le stand de Zweibrücken.
La nuit tombée s’installe la magie des étoiles !
L’hôtel de ville avait revêtu sa parure de lumière.
Guitares musiciennes de Murzic invités au CRD
Une heure de concert pour fêter ensemble, musiciens et public, les vingt ans des cours de guitare de Berck.Le mois de la guitare organisé par le CRD de Boulogne a invité Bruno Murzic et ses guitaristes, Catherine et Jean-Jacques pour le chant (Aznavour, Gainsbourg…) en chorro, sarabandes, ou compositions plus personnelles (Tendances…). Ils ont ravi le public de connaisseurs.
Le calendrier est riche et il faut être attentif aux rendez-vous de décembre. Master class le 11 décembre ; concert et dessin le 14 décembre ; le 17 décembre salle des Pipots.
TANGO Y CAFE
**Este Lunes a las 21:00** Hora de Bs. As
Mais aussi des rediffusions, voir en bas.
Cette information nous vient de Martin Diaz, notre ami retourné en Argentine, nous l’avons souvent entendu à Boulogne et nous avons en souvenir nos concerts…
TANGO Y CAFE
En este encuentro Tango y Música Clásica
Igor Stravinski y Bela Bártok grandes influencias del gran Astor Piazzolla. El Tango de vanguardia con Rovira. La obra de Ernesto Drangosch, de Juan José Mosalini, entre otros.
La presencia en el Bar de TANGO Y CAFE del prestigioso pianista Martín Leopoldo Díaz en su regreso a la Argentina. Sus tangos y los nuestros.
« ¿Al Tango de escuela hay que ensuciarlo? »
Tango y Música Clásica
Con
CRISTINA LEIVA y PABLO ZAPATA
TANGO Y CAFÉ
El café, la charla y el Tango como núcleo de estos encuentros.
Emisión: Lunes a las 21:00 ( 2:00 hora española)
Repetición: Miércoles a las 12:30 ( 17:30 h.española)
Viernes a las 19:45 ( 00:45 h.española)
Domingos a las 11:00 ( 16:00 h. española)
Décalage horaire : ajouter 3 heures à l’heure locale donnée à Bs As
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Ya podés hacer click y escuchar la programación de RADIO FILE
Radio File – Buenos Aires, Argentina
Tel/Fax: (5411) 5901-1770
E-mail: radiofile@archivoderadio.com.ar
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PRODIGIEUX AVENIR POUR LA TELEVISION
C’était hier, et déjà si loin de nous… 1966
Voici quarante trois ans. Sélection du Reader’s Digest avait ouvert ses pages au général David Sarnoff, PDG de RCA (Radio Corporation of America).
Le général se lançait alors dans un exercice de prévision qui intrigue maintenant. Combien ont cru alors à ses vues d’avenir en le lisant ? Savait-il plus que d’autres ?
L’état des lieux
Le général a sans doute considéré les dernières applications en évolution : satellites déjà au dessus de nos têtes et besoins augmentés en transmissions. « L’Humanité se trouve aujourd’hui au seuil d’une révolution dans les transmissions qui va transformer son mode de vie aussi profondément que le fit la révolution industrielle au XIXe siècle ». Il sait que les satellites faciliteront les transmissions pour envoyer un message, sans fils, d’un point à l’autre de la planète. Il décrit : « Les habitants de Stockholm, de New York ou de Buenos Aires pourront recevoir presque immédiatement, de n’importe quel endroit de la planète des copies de contrats commerciaux, de documents historiques, de photos ou d’épures ».
Il se lance sur les téléconférences, sur l’électronique miniaturisée. Il compare les satellites à des « tours qui touchent au ciel ». C’était un an après Early Bird qui déjà reliait l’Amérique à l’Europe. Lequel avait été précédé par les deux Telstar et les deux Relay. Sans oublier les « Soviétiques »
Instruments dangereux
Et déjà David Sarnof envisage l’abondance de sources d’informations non contrôlées sous le titre « instruments dangereux ». Les transmissions par satellite pouvant être captées par n’importe quel téléviseur (Il était encore possible de choisir les émissions à retransmettre dans un pays donné puisque des stations terrestres n’émettaient qu’à partir d’un central !). Un choix supprimé lorsque les satellites auront augmenté leur puissance. Quand un satellite soviétique pourra retransmettre vers le Kansas… La propagande – subtile – pourra se répandre sous couvert de didactisme ou de distraction. Evidemment il voit loin le général qui anticipe les programmes éducatifs…et les machines qui parlent. Il nous parle des réseaux d’ordinateurs qui seront en mesure d’échanger indéfiniment des informations entre eux ou avec des hommes sans tenir compte de la distance.
Explosion du savoir
« Le volume de données dans chaque domaine s’accroît continuellement et tend à dépasser notre possibilité de les traiter. Il y a donc des risques inhérents. Des effets sur notre vie quotidienne ». (il décrit les sites et notre Internet… nos messageries et le vidéo entre nous).
Et conclut
« Ne jamais fermer les yeux sur les dangers inhérents à tous les grands bonds de la technique. Tout nouveau progrès scientifique fait peser des responsabilités sur ceux qui les ont mis en œuvre. Nous ne devons pas permettre aux machines de supplanter ou d’amoindrir l’homme ».
« L’électronique ne pourra jamais rien fournir qui remplace la conscience individuelle de l’homme, son sens de la justice, de la compassion et de la dignité ».
Une réflexion personnelle (par FD)
Je pense à ces personnes qui protestent, « à quoi bon acheter une bicyclette, je vais très bien à pied ». Mais s’ils sautent le pas, ils découvrent des bonnes raisons d’agrandir le cercle de leurs explorations. Remplacez bicyclette par n’importe quoi dont vous certifiez n’avoir pas besoin et finalement vous apprécierez ce que le nouveau matériel vous apporte !
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FD
Sept 2009.
SCENES VOISINES
La ville de Boulogne, l’espace Georges Brassens, le Rollmops théâtre s’unissent dans les nouvelles aventures que sont « les scènes voisines »Un livret de 76 pages est à la disposition du public intéressé. Il y a presque autant de propositions de théâtre, musique… Sûrement des découvertes.
Dans ce choix que nous faisons, et focément arbitraire… nous signalons l’Orchestre de Douai et Isabelle Carré le vendredi 9 octobre, espace Faïencerie : Music Live from USA. Au delà : Eric Legnini Trio ; l’orchestre National de Lille ; La mélodie du Monde ; Rayon de Son ; Fastes des cathédrales sous Louis XIV ; Un bal masqué (Verdi) ; Ivresse Tango… Je ne vais pas tout vous dire ! Feuilletez le livret !
Beethoven revient (voir autre article dans cette rubrique).