RENOVATION DE LA STATUE DU GENERAL SAN MARTIN

Il y a cent ans on inaugurait en grand cérémonal la statue dédiée au « Libertador »Le travail commence, l’association « 1909-2009 association pur la rénovation de la statue du général San Martin » a lancé une importante opération. Parmi les moyens mis en oeuvre, la recherche de mécènes, de soutiens des collecivités et…

… Et un concert qui aura lieu en l’église …

NON !

L’association va recevoir Miguel Angel Estrella . Ce pianiste de renommée mondiale apportera son talent pour soutenir l’initiative. Il se produira au théâtre Monsigny à Boulogne, le vendredi 23 octobre 2009 à 20 h 30 . Bien sûr, le programme est modifié. Si en première partie, nous nous produirons, la seconde partie sera entièrement dédiée au piano. Fauré, Chopin, Mendelssohn seront interprétés par Estrella selon une sorte de dramaturgie… L’artiste propose « Musica en ensueno, de rebeldia, de amor y de muerte…. de paz, une suite dei romanticism ». Le prix unique des places est de 15 Euros.

EMPENADAS, selon Nora

En deux temps, certes, mais cent mouvements ! Voici la recette. Les quantités permettent la confection d’une centaine d’empenadas. Recalculez les quantités si vous êtes moins gourmand ! Ou débutant ! POUR METTRE A CUIRE
2,4 kg de viande (la prendre hachée);
3 kg d’oignons (éplucher, sécher quelques larmes, émincer et couper en petits morceaux, prendre un mouchoir propre et essuyez vos yeux);
500 g. de beurre;
piment doux;
cumin; Quelle quantité ? Goûter et arrêter quand c’est bon !
on peut saler, mais oui.
LA CUISSON ETANT ACHEVEE, ajouter sur chaque empenada, un peu des oeufs cuits dur auparavant, et quelques raisins secs.
ET LA PATE DEMANDEREZ-VOUS ?
Faire de la manière habituelle, En principe 2,5 kg de farine, 500 g. de beurre. Vous pouvez faire mieux !
Amincissez et prélevez « grand comme la main », étalez la préparation sur un côté, refermez, et pincez les bords pour fermer la bouchée. Mettre au four, Allez-y doucement et testez de temps en temps la cuisson… La photo incluse devrait cous aider !

Vous avez le droit de donner des précisions. La note ci-dessous est pour vous !

Un salut à Juan Carlos et Nora

Ils aurnt engrangé bien des souvenirs de leur séjour à Boulogne. Musicaux et aussi amicaux, et surtout amicaux. Réminiscence de mes leçons d’Assimil… « Todo el mundo me trata bien ». C’est toujours un plaisir de revoir le fondateur de notre orchestre. Et les liens qui se sont tissés depuis dix ans ont apporté bien des satisfactions et des plaisirs. Juan compose toujours et a eu le plaisir d’entendre ses oeuvres. Nora toujours observatrice, donne cent conseils de dessin… et sème ses feuillets. Et puis, voilà ! C’est la dernièrre semaine !

Alors grand « raout » chez Olivier et Francine. Et au menu, organisé par Nora ; des empanadas, vous savez bien, ces bouchées de viande cuites au four, servies chaudes… et encore agréables froides. Il faut avouer qu’il y a « ce qu’il faut » dans la recette. Cette recette vous la trouverez dans la rubrique « Espérons vous faire aimer ».

Donc forte activité dans la cuisine de Francine, ces dames bien affairées, ces messieurs aussi, visionnant pour la nième fois le reportage de Jacques Bara sur notre sortie barbecue du 2 août.

Passionnante réunion et plein de projets lancés. On ne fera pas tout mais que c’est bon d’imaginer !

SAINT MICHEL à BOULOGNE le 11 juillet 2009

Concert en l’église Saint Michel, l’assistance est nombreuse. Le programme est bâti pour illustrer les fêtes de la mer données à Boulogne sur le port.

L’orchestre sera placé en première partie sous la direction de Jeff Mannokian, chef invité. Il est directeur musical et chef de l’orchestre de la province de Tucuman (Argentine).

La seconde partie du concert verra Jeff Mannokian au piano pour son interprétation de la « Rhapsodie in Blue » de G. Gerschwin. La direction d’orchestre revenant alors à Bernard Schneider.

Un grand moment musical car on avait affaire à un interprète qui fait autorité dans les œuvres de Gershwin. C’est « le » spécialiste et l’orchestre lui a donné la réplique avec toute sa qualité. Puis avec Jeff Manookian, l’orchestre se lança dans l’adagio de la suite de ballet Spartacus de Khatchaturian…

En présence du compositeur, l’orchestre donnera la « Fantaisie Andine » de J.C.Grupalli, Le public a pu retrouver Gillaume Barli en soliste, pour la « Fantaisie Andine, puis pour « Carmen Fantaisie » de Pablo de Sarasate.

Et cette fête musicale fut complète avec l’incorporation dans les pupitres des musiciens du Quintete Escualo venu de la Plata (ville jumelée à Boulogne).

L’équipe animatrice de l’église permit la réussite de ce concert et veilla au confort du public et de l’orchestre.

UN VOYAGE A PARIS

…sans leur montrer Paris. ses musées, ses tours, et son animation. Le petit programme photographique raconte rièvement les lieux des découvertes.
La tour Montparnasse. 204 mètres et 56 étages. On voit tout Paris. Nous nous avons monté tout en haut, facile avec l’ascenseur le plus rapide d’Europe. Le pigeon lui, ne rêve pas aux cîmes, il contemple l’humanité en dessous de lui !


A notre passage, on dressait une table… C’était l’heure de l’apéritif. Et coïncidence, c’est l’anniversaire de Maris-Suzanne ! Eh bien NON ! c’était pour… On ne sait. Et de toutes façons ne demandez pas l’âge de MS, « Vous ne le saurez pas, parce que ça change tout le temps ».


Passage au cimetière du Montparnasse. Arrêt devant la tombe de Julio Cortazar, écrivain Argentin et Français.Très admiré de nos cinq amis. Long arrêt devant la stèle. Cortazar a inspiré Antonioni et Comencini. Il fut un réaliste magique… (Allez voir à Wikipedia).


La géode du parc de la Villette. La sphère anamorphose le paysage. Tiens Ca rappelle Soutine exposé à l’Orangerie par un « paysage avec personnage »… Tenait-il lui aussi une sphère ou un bouchon de carafe ?


La concurrence affrontée devant le Sacré Coeur. Les 12 musiciens de Porto ont animé de belle façon musicale et vocale leur répertoire, dont une chant de Colombie. Chut, écoutons !



Promenade sur la Seine et découverte d’un autre Paris, fluvial celui-là. Toujours avec les « vedettes »…


Tous ensemble pour la visite au Louvre. C’est immense, et on voit à peine la Joconde…


La fameuse pyramide. Quel tollé à l’époque. Il fallait venir la construire à Boulogne. Nous on aurait su quoi en faire !


Devant l’Orangerie, Rodin initie les passants à l’art du baiser !



Inévitable tour Eiffel… Et évidemment la photo souvenir.


Et il faut leur apprendre à traverser avec art en dehors des clous !


Attirés par les miettes de nos sandwichs, « ils » guettent !



Et enfin, après une journée bien remplie, métro, marche, visite, tout voir… le soleil couchant dore les façades et projette des ombres étonnantes.

HOMMAGE AU GENERAL SAN MARTIN

La campagne du général San Martin qui a abouti au départ des Espagnols, alors colonisateurs de l’Argentine, du Chili et du Pérou reste dans les mémoires et toujours aussi vivante 159 ans après le décès du grand homme.Le programme proposait une réception dans la maison du général, convertie en musée. Suivie d’une cérémonie devant le monument sur la promenade Sainte Beuve.

De nombreuses personnalités venant de l’ambassade avaient rejoint le musée : MM. le ministre Edgardo Malaroda, chef du service économique, le conseiller Mauricio Alice, chef du service OCDE, le conseiller Mariano Simon Padros, chef du service politique, Madame la secréaire Mariana Albarez Rodriguez, vice consule, le secrétaire Joaquin Manaberrigaray, du service économique, Le responsable de la mission logistique Aerea Argentine en Europe, le responsable de la commission navale argentine en Europe, le représentant de la Gendarmerie nacional.

Pendant le buffet offert à l’assistance, ordonnancé par le conservateur, Marco Tapia Parra, le quintette en résidence dans le Pas-de-Calais (venu de la Plata, ville jumelée à Boulogne) s’est exprimé avec bonheur dans ce qu’il a de meilleur dans son répertoire : les tangos et milongas. Parmi les invités figurait Miguel Angel Estrella, il a longuement parlé à nos jeunes invités musiciens.

AIX EN ISSART

Les jours se suivent… Beaux ciels toute la semaine, et le dérèglement sur le jour critique. On attendait une fée gentille, ce fut Carabosse qui s’invita. Avec son sac rempli d’eau, mais troué, elle a laissé déverser son contenu sur la région ce samedi soir du 18 juillet 2009. Mais dans l’église Saint Pierre ce fut une toute autre musique !

Exceptionnellement la baguette de chef fut confiée à Jeff Manookian, cependant que Bernard Schneider prenait l’archet de son violoncelle au sein de l’orchestre. Jeff Manookian est le chef de l’orchestre de la province de Tucuman en Argentine. Il a veillé sur les répétitions et dirigé les concerts des 4 et 11 juillet à Boulogne.

Le programme comme tous les ans débuta à 21 h 30 et comprenait trois séquences d’une demi-heure. Enfin, en principe car l’orchestre a débordé… d’entrain et a offert un récital de qualité. :

Première partie – concerto de Telemann pour alto, quatre mouvements. Soliste Frédéric Bara. –

De Von Flotow, l’air de Marta, chanté par Marc Schneider. – Double concerto de Bach pour deux violons, solistes Guillaume Barli et Ignacio Rivas.

En deuxième partie , la place fut laissée au Quinteto Escualo. Ce quintette mené par Ignacio Rivas, a lancé les meilleures compositions de tangos, Melodia, Oblivion… Du Piazzola puisé à la source. Santiago Munoz s’exprimant toujours aussi magnifiquement au bandonéon. Le quintete Escualo comprenait aussi Natalia Berriel, alto, Santiago Quagliarello, à la contrebasse, au piano Edgardo Ruben Otero.

Puis vint la troisième partie , qui reprit Telemann, Von Flotow, puis le premier mouvement du double concerto de Bach. Deux tangos en version orchestrale furent proposés. . Un beau « bis » offrit « Winiavski », compositeur polonais, joué par Guillaume Barli, et termina cette soirée. Il était minuit passé.