NATHALIE HOYER

L’illustration de la passion.Nathalie Hoyer est peut-être bien l’illustration de ce que peut la passion. Amateur pure elle découvre le violoncelle lorsqu’elle a 8 ans. Plus tard elle se prend d’amour pour le chant.

Soprano, elle exploite sa voix dans les meilleures partitions. Elle fréquente le conservatoire de Boulogne et en toute logique approfondit ces deux arts. Le violoncelle avec Jean-Luc Vidal ; le chant avec Isabelle Debaere, ce qui lui apporte une médaille d’argent.

Entre répétitions et concerts elle enseigne le dessin technique dans les classes CAP et BP des métiers du bâtiment.

Questionnée sur ses préférences elle répond « J’ai un penchant à différents styles et à de nouvelles expériences, il y a tant à découvrir dans la Musique ».

Nathalie Hoyer sera à Marck en Calaisis à la salle de sports, le vendredi 29 mai 2009. (voir  » actualités « ). elle interprétera ; Wolfgang Amadeus Mozart, Les Noces de Figaro : Duo « Sul Aria », avec Marie-Catherine Honvault. Puis de C. M. Von Weber, Der Freischutz : « kommt ein Schlanker Bursch ».

Bientôt Calais, les Musi-chorales

Le partenariat noué avec la chorale Saint Joseph de Calais va produuire un concert…… un concert au profit de l’association pour la mise en valeur du patrimoine architectural de Calais.

Extraits d’oeuvres de Verdi, ( la Traviata ), de Carmen le choeur des gamins , et les Pêcheurs de Perles , de Bizet. On terminera par un magnifique Gloria de Vivaldi

La répétition de ce mardi (28 avril 2009) a réuni ‘orchestre et les choristes. Kristina Howells et Marc Schneider ont lancé les notes tragiques du Nrindisi Duo (la Traviata).

Dimanche 10 mai 2009 à 15 h 30 à ND de Calais. Entrée gratuite

ENSEMBLE POUR SIDACTION

Opal Sinfonietta a participé au concert donné à l’espace culturel Michel Maës (Capécure) pour soutenir l’association « Présence Ecoute » en faveur de Sidaction.Les forces musicales furent mises en action pour soutenir un grand projet, lutter contre cette odieuse maladie, le sida. Une belle distribution pendant un samedi (le 28 mars 2009).

Des chorales et notre orchestre. Chaque chorale s’est exprimée dans son répertoire. Successivement sont venus sur le podium « les Voix du Caraquet », « Notes d’Opale », « Condettae Cantores », « Les Vareuses Porteloises ». « Opale 3 ».

Notre orchestre a présenté l’ouverture des Contes d’Hoffmann de Jacques Offenbach, et ses trois tangos fétiche :  » Oblivion « ,  » Aio Nonino « , et  » Libertando  »


Condettae Cantores


Opal Sinfonietta

ENSEMBLE ACCORD 21

Dimanche 29 mars en l’église Saint Pierre Saint Paul du Portel, l’Ensemble Accord 21 (comme 21e siècle) a fait un superbe cadeau de printemps. L’ensemble lillois réunit depuis 2006 treize virtuoses. Il est dirigé par Olivier Grangean lauréat de la fondation Menuhin, entre autres. Leur but est de « faire partager au plus grand nombre le répertoire pour orchestre de chambre ». Au programme le concerto en do majeur de Vivaldi pour cordes et basson. Marc Trenel qui sut obtenir des sons doux et véloces de son « arbre » ! Il enchanta encore avec une troisième œuvre jubilatoire de Rossini. Dans le « Crisantemi » de Puccini, les cordes de l’ensemble ont fait apprécier tout leur velouté.

Puis vint  » les Quatrre Saisons  » de Vivaldi en seconde partie. Ceux qui croient « tout savoir » auraient bien dû se mobiliser pour ce dimanche après-midi. Le soleil était dans l’église ! Soudain le public fut transporté dans d’autres univers, ciels sereins ou courroucés, terre gorgée à plus soif, promesses de récoltes, plénitudes et repos de la nature. Un moment béni suspendu entre terre et ciel..

NOTE :
Olivier Grangean , créateur avec Trenel d’Accord 21. Etudie au CNSM de PARIS. « Chef français considéré comme l’un des plus doués de sa généraytion ». En résidence à Caracas (1995 à 200) Il aborde les compositeurs latino-américains…
Marc Trenel, basson, formé au conservatoire de Lille puis au CNSM de Paris, obtient ses premiers prix à l’unanimité. Il est lauréat de grands concours et est basson solo à la Tonhalle de Zurich.
Gautier Dooghe , violon, médaille d’or au CNR de Lille, Il reçoit des formations au CNSM de Paris et Rotterdam. Il enseigne au CRD de Cambrai et à l’académie internationale de musique de Guérande.
contact : www.ensembleaccord21.eu

SAINT LEONARD, concert du dimanche 22 mars 2009

Voici l’album photos. Un choix de « premier jet ». A suivreLa salle du Forum des loisirs s’emplissait peu à peu et vers 17 h 00, elle avait quasiment fait le plein. A peine encore trois minutes et l’orchestre s’installait sur la scène

Une petite mise en scène permet de lancer « la Dame Blanche » de Boïeldieu. « . Du au livret de Scribe d’après Walter Scott. Cet opéra comique eût un énorme succès. On note que 1675 représentations furent données tout au long de la période qui va de la création (décembre 1825) jusqu’à 1914. Londres eût droit à sa représentation en traduction en 1826.

Aussitôt après vint « la symphonie concertante pour violon et alto » K 364, de Mozart. Une conversation animée entre les deux cordes soulignées par l’orchesttre agissant comme un choeur. Une prestation des deux solistes unaniment appréciée, Guillaume Barli, violon, et Frédéric Bara, alto auxquels l’orchestre donna la réplique.

Pourquoi ce si grand succès pour une histoire qui apparaît banale à première vue ? On la connaît : Un château familial est réputé hanté. C’est la Dame Blanche… Impossible de vendre ce bien ? Il y a quand même vente. L’enchère est enlevée par un mystérieux personnage. Il doit payer, et un trésor enfoui est retrouvé fort à propos. On découvre que l’enchérisseur est un fils disparu !

Message caché ? Une thèse d’Olivier Bara (frère de l’altiste) argumente et démontre une structure thématique. 1 – Patrimoine immobilier : droits féodaux et familiaux inscrits dans la naissance ; 2 – Basculement de l’ordre, trahison et faute… ; 3 – Menace d’instauration d’un ordre fondé sur l’argent (le désordre risque de s’imposer définitivement…) ; 4 – restauration de l’ordre ancien, Une fin heureuse !

Le reste du programme s’en alla vers plus léger. « l’ouverture des contes d’Hoffmann » d’Offenbach mis en valeur par le violoncelle de Jehan Saison et le violon de Claire Saison. Un peu pus tard, les tangos apportèrent leur lot de cadence, d’évocations lointaines, de déchirements ou d’apaisements.

remerciements : aux services techniques de Saint Martin-Boulogne, pour la scène, de Saint Etienne-au-Mont pour la lumière, et au service culture (Monique Gervois) et au service technique, pour l’accueil, les facilités d’organisation, la mise à disposition des locaux du Forum, et les cent petits services que commandent les circonstances. Et remerciements au Conseil général du Pas-de-Calais, qui soutenait la mairie au titre de la diffusion artistique.

LE FEMINAIRE

« Un mot de travers : le mot « vieux » ! Pour que l’amour ait mal… « .
L’article de lancement

« Un mot de travers : le mot « vieux » ! Pour que l’amour ait mal… « . On imagine bien que la prose récitée ou lue par Jean Claude Drouot est loin de laisser indifférent. La réflexion sur la femme, l’amour qu’elle donne, celui qu’on lui porte… interpelle. Et quand viennent les accords fulgurants, touchants, émouvants du quatuor Ludwig… Alors là le public atteint la plénitude !

Amours éternels ou passsagers, et le temps qui passe et qui n’efface rien. On se prend à évoquer Ronsard « cueillez les roses… »Je n’ai jamais eu d’immortalité à vous proposer mais j’en ai les haillons… ». Réflexion éternelle. Le texte de Marcel Moreau invite à saisir l’instant parce qu’après viennent les souvenirs. Mais que de belles heures furent vécues. Notre édition de dimanche (8 mars, p.11) a dit l’essence de ce beau texte qui a traversé âges et sentiments. Mais n’encense pas tout ; ainsi nous blesse « la lettre à une excisée » !

Les illustrations musicales du quatuor Ludwig, merveilleusement choisies en symbiose avec le texte ajoutèrent à l’émotion. Evocations ; Brahms pour « Il y a dans ton corps qui s’affaisse… » ; I. Stravinsky : « Elle n’a jamais cessé ma louange à la femme… » : Et encore Shubert, dans l’illustration poignante de « Amour changeant mais cant… ».Chostakovitch, Bach.

Les « Ludwig » aiment à « mettre en interaction des disciplines aussi variées que le théâtre, la danse ou l’astro-physique ». J.-Ph. Audoli, violon, Elenid Owen, Padrig Fauré, alto, Anne Copery, violoncelle furent de parfaits illustrateurs du texte.

Ce dimanche (8 mars 2009) salle des Pipots, ce fut mission bellement accomplie pour la Journée de la Femme.

LE LOCRO, une recette

Le locro est une soupe très roborative. suivez la recette, et si vous ne trouvez pas tout, adaptéz-vous ! Le locro

Recette pour 6 personnes ingrédients ¨ : 1 petite boite de mais doux( 150g) ; 150g de haricots blancs secs ,; 1 saucisse de porc chipolatas) coupée en rondelles ; 100g de lardons fumés ; 150g de tripes de bœuf coupés finement (vous pouvez remplacer par des morceaux de porc ou de bœuf) ; 1 carotte coupée en rondelles ; 1 pomme de terre coupée en quartiers ;1 bouillon Kub ; 2 c à café de curcuma en poudre ; 2 c à café de curry en poudre ; et une pincée de piment extra fort moulu.

La veille, faire tremper les haricots blancs secs. Dans une marmite, mettre les haricots blancs gonflés, les tripes, la carotte, le bouillon cube, le curcuma, le curry et le piment. Couvrir d’eau froide. Faire mijoter pendant 2 heures.

Puis ½ heure avant la fin de cuisson, ajouter la saucisse, les lardons
fumés, la pomme de terre et le maïs. Si la soupe est trop épaisse à votre
goût, rajouter un peu d’eau.

Bon appétit !

Quent à l’illustration elle n’a aucun sens ! Cherchez ce qu’elle représente !

Soulevez le couvercle : le locro fume et répand son odeur !

BEETHOVEN THEATRALISÉ…

« Sourires aux lèvres et commentaires appréciateurs…
Ainsi commence l’article de la Voix-du-Nord du 20 février 2009, qui relate la première de « Beethoven » d’Elo et Kordian.

Cex deux créateurs ont préparé leur pièce dans les locaux du Rollmops théâtre à Bmoulogne, et ils furent prêts pour trois représentations. Heureux spectateurs qui ont vu cette pièce. Elle part dans « les Mines »… Suivez l’actualité !

Voici l’article publié, tout y est.

Ainsi qu’une autre vision de la pièce.

Frédéric BARA

Audomarois d’origine, Frédéric Bara, quadragénaire, dédie sa vie à la musique…Frédéric BARA

…dédie sa vie à la musique

et plus particulièrement au violon. Il débute ses études musicales à l’Ecole Nationale de Musique de Saint-Omer. De retour à Lille, il obtient le diplôme de fin d’études d’écriture au Conservatoire de Lille.

Cette formation lui ouvre les vastes perspectives de la musique.

Séduit par l’Alto, la beauté de sa sonorité, sa puissance, il se consacre à cet instrument. Il intègre rapidement la classe d’alto de Paul Hadjaje, alto solo de l’Opéra de Paris. Plusieurs prix couronnent sa pratique : 1er prix et Prix d’Honneur au Conservatoire National de Région de Versailles.

Frédéric Bara obtient son diplôme de professeur, il est inscrit sur la liste d’aptitude du CNFPT. Il enseigne le violon et d’alto dans les écoles de musique de Lille-Lomme et Fâches-Thumesnil. Grace à ses qualités de pédagogues, les classes d’ensemble à cordes de ces écoles lui sont confiées.

Sa passion pour la Musique le conduit à participer à de nombreux ensembles orchestraux, partout, ses qualités musicales, ses compétences sont reconnues :
• Nouvel Ensemble Instrumental du Conservatoire National Supérieur de PARIS soliste à l’Orchestre symphonique de Douai,
• Soliste à l’Orchestre des Musiciens d’Europe.

Il est aussi responsable de l’Orchestre des Jeunes du Nord-Pas-de-Calais.

Auteur de plusieurs compositions, opéras et musique de chambre, ses œuvres sont souvent jouées. Une de ses compositions « Fantasia » a été jouée à Desvres le 3 octobre 2009 à l’occasion du 10e anniversaire de la chorale « Les Voix du Caraquet ». On l’entendra au Portel le 29 novembre 2009.

Il participe régulièrement aux activités musicales sur la Côte d’Opale et s’est produit en Argentine, accompagné par l’orchestre de la Plata, notamment en septembre 2008.

QUICHE MARGOT

Merci Margot, pour cette recette brillante et goûteuse.

Rassembler :
• 160 g de farine,
• 50 g de beurre très mou,
• un sachet de levure déshydratée,
• 4 œufs
• 2 à 3 blancs de poireau,
• 200 g de cheddar (le parmesan convient aussi.
• 1 échalote,
• Saumon fumé

Pour la pâte :
• 160 g de farine,
• 50 g de beurre très mou,
• un sachet de levure déshydratée,
• 1 œuf battu,
• poser au moins deux heures.
• Etaler la pâte.

Garniture :
• 1 échalote, facultatif; ciselée et revenue translucide,
• 2 à 3 blancs de poireau, revenus également;
• Prévoir 200 g de cheddar (le parmesan convient aussi), râper, en mettre la moitié, répartie,

Les fines tranches de saumon fumé….

Battre 3 œufs entiers, les ajouter à 1 pot ce crème (un gros !),
Poivrer,
Finir par le reste du râpé;

Mettre au four !!!

BON APPETIT !