Apéritif dansant de la Sainte Cécile

Nos amis de la Lyre Condettoise invitaient à) un apéritif dansant de la Sainte Cécile. Leur président Alain Derrar et une musicienne, Mme Marlène Pasbecq, ont reçu la médaille des sociétés musicales. Ainsi Frédéric Joly; directeur de l’école de musique de Condette, adressait-il une invitation. Celle-ci a été suivie et un public venu nombreux a aimé cette représentation très animée.APERITIF DANSANT GUINGUETTE, ANIME PAR LA LYRE DE CONDETTE (25 musiciens), DIMANCHE 29 NOVEMBRE, DE 11H A 13H
SALLE DU PETIT BOIS, CONDETTE

C’est joué ! Mais il reste les bons souvenirs vécus. Et en prime les deux médailles des sociétés musicales qui ont été remises à Alain Derrar, fidèle à la Lyre et président depuis cinq ans. Ainsi qu’à Marlène Pasbecq, (ci-dessous), trentenaire en musique, qui participe aussi à nos activités musicales.

Une ambiance sympathique régnait et le rendez-vous donné a été bien fréquenté. Tant par les musiciens de la Lyre de Condette, que par leurs invités.

Les deux récipiendaires ont reçu la médaille des sociétés musicales. Dans l »ordre, de G à D : Jean-Kaddour Derrar, maire de Condette, Marlène Pasbecq, Alain Derrar, Frédéric Joly, chef de la Lyre et directeeur de l’école de musique.

« NOUS FAISONS LE MONDE » CLAMERENT LES ENFANTS A… L’UNICEF !

Aider les enfants du monde… C’est la septième année que l’orchestre Opal Sinfonietta apporte son art à l’UNICEF. Maintenant et pour la deuxième fois, KIWANIS a participé à l’organisation de cet événement qui est suivi par un public fidèle.
Voici sans tarder le compte rendu photographique. Les commentaires suivront.Dans le beau cadre de l’église Saint François de Sales, le concert était bien à sa place. L’orchestre était dirigé par Bernard Schneider. Deux écoles avaient fourni les choeurs (voir plus bas).

Un public fourni a répondu en nombre à l’appel de l’UNICEF et de KIWANIS.

La symphonie des jouets a mis en situation les élèves de la classe de percussions de Condette, pour un baptême musical, Cette « fantaisie » telle que qualifiée à l’époque fait appel à des instruments particuliers, crécelle, triangle, et on imite le coucou et le rossignol. Signée Léopold Mozart, (le papa !) elle amuse et enchante toujours.

Cette année, c’est la découverte d’Enrique Brescia Aragon, pianiste raffiné,
au toucher sensible et juste pour une interprétation toute en nuance de ce
superbe 23e concerto en la majeur (K488) de Mozart. Le pianiste invité a joué merveilleursment. Il a confié en aparté, après le concert qu’il avait été bien suivi par l’orchestre.

Piececitos, poème chilien,
Le poème de Gabriela Mistral (1889-1957), « Piececitos » (les petits pieds)sur une musique de Guastavino, avait été orchestrée par Juan Carlos Grupalli, le fondateur de l’orchestre. Ce poème fut chanté par Marc Schneider, très inspiré.

Les chansons du monde ont exploré Kalinka, air venu d’Oural, puis un chant japonais, un suédois, un allemand et un israélien. Les orchestrations avaient été réalisées par Frédéric Bara. Direction des choeurs – fournis par les classes des écoles Saint Charles et Saint Augustin – par M. Rosé. Des interprétations qui ont enflammé les spectateurs et l’orchestre !

 » We are the World  » ce succès de Mickaël Jackson a été « enhanced » par Kristina Howells (elle seule comprendra « le » mot !!! Kristina a mis toute son énergie et son talent pour ce final, encore poussé plus fort et plus loin par le bonheur et la joie des jeunes chanteurs.
Orchestration de Bernard Schneider.

Les compliments aux musiciens. Le public, nombreux, ne s’y trompe pas et une ovation debout conclut le spectacle.

Un concert qui s’est achevé brillamment, les enfants sont à l’honneur, en premier plan, et en retrait, les exécutants. Les discours de remerciement de M. Cuvillier, maire, Bernadette Sochala, de l’Unicef, Gilles Panier du Kiwanis, vont d’abord aux enfants, à l’orchestre, aux musiciens, aux solistes, au compositeur, aux organisateurs, à M. Rosé, à Lucile et Camille de St JO, au doyen Larzet et aux membres de la Paroisse, aux techniciens de la Ville de Boulogne/mer..

Remerciements : Beaucoup d’acteurs se sont unis pour la réussite de ce concert. Le conseil Général du Pas-de-Calais, la Ville de Boulogne et ses services technique et de communication, la CAB, le lycée St Jo et ses étudiantes en communication, Kiwanis…

Fandango de Frédéric Bara

KIWANIS organise le concert au profit d’UNICEF. Parmi les oeuvres proposées figure Fandango, de Frédéric Bara. Rappel :

Le fandango

Danse traditionnelle espagnole, d’origine andalouse. Connu dès le XVIIe siècle, le fandango est en rythme ternaire et en mode mineur, d’un mouvement à la fois animé et voluptueux. Sans finale marqué, ce qui permet de le recommencer autant de fois qu’on veut.

danse de ville et de théâtre ,

Le fandango est l’une des danses espagnoles les plus anciennes et les plus courantes. Elle fut introduite en Europe par les Espagnols qui revenaient des Indes occidentales (*) après avoir fréquenté les Noirs déportés de Guinée.

Frédéric Bara, musicien et compositeur talentueux, a composé ce Fandango en 2008 pour Orchestre Symphonique. Il reprend les thèmes chers au fandango traditionnel : rythme, chaleur, séduction. Musiques du Monde

(*) Ces îles s’appellent aussi « West Indies » … les Antilles !

DEUX FILMS MUSICAUX : deux films « coup de coeur »

Avant-première de « D’une seule voix » vendredi 6 novembre à 18h00 au cinéma « Les Stars ».
« Le concert » à l’affiche dès mercredi 4 novembre
DEUX FILMS MUSICAUX

Avant-première vendredi 6 novembre 2009 à 18h00 en présence du réalisateur

Le premier D’une seule voix raconte l’histoire d’Israéliens et Palestiniens, juifs, chrétiens et musulmans. Ils sont avant tout musiciens.
Partant du constat qu’il est maintenant impossible pour eux de se rencontrer en Israël ou dans les Territoires Palestiniens, le français Jean-Yves Labat de Rossi, va les cherchez chez eux, de part et d’autre du mur, pour les inviter à une tournée surprenante qui les réunira en France pendant trois semaines.

Un pari audacieux qui se révèle rapidement risqué. Dès le début de la tournée, les rivalités apparaissent inévitablement. Sur scène, c’est un triomphe alors que dans les coulisses, le ton monte… Film de Xavier de Lauisanne.

« Le concert » à l’affiche à partir du mercredi 4 novembre 2009

 » Le concert » a déjà bénéficié d’une large couverture médiatique. A l’époque de Brejnev, Andrei Filipov était le plus grand chef d’orchestre d’Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, il a été licencié en pleine gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au Bolchoï mais… comme homme de ménage.

Un soir, alors qu’Andrei est resté très tard pour nettoyer le bureau du maître des lieux, il tombe sur un fax adressé à la direction du Bolchoï : il s’agit d’une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l’orchestre officiel à venir jouer à Paris… Soudain, Andrei a une idée de folie : pourquoi ne pas réunir ses anciens copains musiciens, qui vivent aujourd’hui de petits boulots, et les emmener à Paris, en les faisant passer pour le Bolchoï ? L’occasion tant attendue de prendre enfin leur revanche…

« Le concert » le nouveau film de Radu Mihailenu à l’affiche à partir du mercredi 4 novembre (détail des horaires sur allocine.fr)

Qui est ENRIQUE BRESCIA ARAGON, Pianiste ?

Notre orchestre jouera le concerto N°23 pour piano et orchestre de Mozart. Le piano sera tenu par Enrique Brescia Aragon. Ce dimanche 1er novembre, nous étions en répétition. Enrique jouera à Saint François de Sales (15 novembre) pour l’UNICEF et le 29 novembre à Saint Pierre Saint Paul au Portel.Pour l’UNICEF, avec KIWANIS, nous illustrerrons le thème de l’année : « Si tous les enfants du monde », avec des choeurs d’enfants (écoliers de Saint Charles et de Saint Auustin). Pour le Portel ce setra Haendel, Bach, Mendelssohn, et naturellement Mozart. Deux concerts pour deux publics.

Qui est Enrique Brescia Aragon ? Enfin la réponse :

Après avoir effectué ses études en Uruguay, sous la direction de Nibya Mariño et d’Eliane Richepin, il obtient son diplôme de Professeur de Piano. En 1969, il est lauréat au Concours International de Piano de Montevideo. Ensuite, Enrique Brescia Aragon donne plusieurs concerts en Amérique Latine. Sélectionné au concours national du Service Officiel de Télévision et Radiodiffusion – S.O.D.R.E-, il participe à Buenos Aires à un Stage avec Claudio Arrau et Rafael De Silva. Des concerts sont présentés à Rosario de Santa Fe. Il se distingue par son interprétation du
concerto N°23 de Mozart et N°1 de Chopin.

Une bourse de l’Ecole de Piano « Claudio Arrau », placée sous la direction de Rafael de Silva, lui est accordé pour perfectionner ses études à Paris, il reçoit également l’aide du Ministère de la Culture uruguayen. A Paris, il bénéficie de l’enseignement et des conseils de professeurs et pianistes renommés tels que Maria Tipo, Nikita Magaloff, Magda Tagliaferro, Camille Heuclin, Aldo Ciccolini et autres.

Invité par la pianiste niçoise Magda Brard et le violoniste Tibor Katona, il participe aux festivals de musique de Nice et Monte-Carlo. Actuellement, il enseigne le piano à Paris, et propose divers récitals et concerts en France
et en Europe.

Bientôt le Portel

Nous serons en l’église Saint Pierre Saint Paul pour un concert auquel nous avons invité le pianiste Enrique Brescia-Aragon. Nous lui donnerons la réplique dans le concerto N°23 en la majeur pour piano et orchestre de W.A. Mozart.
Enrique Brescia-Aragon est venu avec nous un dimanche (1er novembre 2009) pour répéter Mozart. Le pianiste reviendra pour deux concerts dans le Boulonnais.

au programme:

Ouverture des Fireworks Haendel

Double concerto JS Bach
(solistes Claire Saison et Emmanuel Gorge)

Concerto N° 23 Mozart pianiste
Enrique Brescia Aragon

Symphonie X Mendelssohn

PS, Nos remerciements à l’école de musique de Saint Martin, qui nous a offert l’hospitalité et l’usage du piano.

Restauration de la statue du général San Martin

Une forte coopération entre associations a créé crée d’autres événements. Bienvenue au Cercle Historique San Martin qui a travaillé en relation avec l’APB (asso’ philatélique du Boulonnais), le cinéma Les Stars de Boulogne et le Lycée Mariette. Après le bonheur de collaborer avec l’association »1909-2009 Restauration de la statue du général San Martin » du nouveau sur l’agenda des sorties.Voici le programme, avec une accentuation sur le cinéma argentin en novembre, mais prenez note des autres rendez-vous.

Dans le cadre des manifestations organisées à Boulogne-sur-mer pour le centenaire de l’inauguration de la statue du Général José de San Martin, voici un extrait du programme des manifestations:

La passé :

Mercredi 21 octobre 2009 : 18h30 – Casa San Martin – 113 Grande-Rue – Boulogne-sur-mer. Conférence sur l’inauguration de la statue du Général San Martin. Vendredi 23 octobre à 20h30 – Théâtre Monsigny – Boulogne – concert avec Estrella. Samedi 24 octobre , cérémonie officielle au pied de la statue, boulevard Sainte-Beuve. Vendredi 30 octobre , Casa San Martin – conférence par Isabelle Mislanghe (CHSM) sur son voyage en Argentine sur l’Aconcagua. Samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre : mairie de Boulogne sur mer: exposition des centenaires organisée par l’APB Association Philatélique du Boulonnais.
Centenaire de la mort du Capitaine Ferber , de l’inauguration de la Poste , de l’inauguration de la statue . Exposition de cartes postales originales datant de 1909 et de timbres sud-américains au sujet de l’indépendance de l’Argentine, du Chili et du Pérou. Emission spéciale et vente d’un timbre commémoratif : michel.poultier@wanadoo.fr
Dimanche 1er novembre : l’Association franco-argentine Choré’Art Ballet a donné un cours gratuit de tango et démonstration. Renseignements: Cecilia Guimarey Artigas 03.21.87.62.12 ou 06.60.20.03.67 – choreartballet@voila.fr

L’actualité

Du jeudi 19 novembre au samedi 21 novembre : exposition au lycée Mariette – rue Beaurepaire – Boulogne, de la collection de timbres et de cartes postales de l’APB sur le Général San Martin et sur l’Argentine. Exposition réservée aux élèves et personnel du lycée Mariette.

Certains élèves vont travailler toute l’année scolaire 2009-2010 sur le Général San Martin, l’Argentine et l’Amérique du Sud. Edition en mai 2010 d’un livret bilingue sur le travail effectué par les élèves. Une mobilisation de six classes du lycée (Seconde, première, terminale, hypocagne, BTS) soutenues par trois professeurs de géographie et trois d’Espanol.

Dimanche 22 novembre : exposition de la collection de timbres , documents et cartes de l’Association Philatélique du Boulonnais sur le Général San Martin lors de la 6ème rencontre des collectionneurs – salle de la Faïencerie – Boulogne – 9h -18h – Entrée:1,50 euro. Renseignements: 03.21.04.84.65

du mercredi 18 novembre au mardi 1er décembre : cinéma Les Stars – 18 rue Nationale – Boulogne quinzaine du cinéma argentin avec 6 films à l’affiche (en version originale):
«Nueve Reinas» de Fabian Bielinsky.
«Historias Minimas» et «La Fenêtre» de Carlos Sorin.
«Leonera» de Pablo Trapero.
«Agnus Dei» de Lucia Cedron.
«Amorosa Soledad» de Martin Carranza et Victoria Galardi.

Renseignements Hélène Lebas 03.21.31.05.19. – cinema.stars@wanadoo.fr.

En octobre et novembre, l’association «Artisans du Monde» tél: 03.21.33.32.23 mettra en valeur dans les vitrines de son magasin 49 Grande-Rue – Boulogne des produits d’Amérique Latine issus de l’agriculture biologique et du commerce équitable.

Le musée Casa San Martin est ouvert gratuitement du mardi au samedi (sauf jours fériés):10h-12h et 14h-18h

UN GRAND CONCERT POUR UNE GRANDE CAUSE AVEC ESTRELLA

Ce fut le bonheur pour un soir, partagé par des centaines de boulonnais, obscurs spectateurs ou célébrités locales.
Les travées du Théâtre Monsiqny, bien garnies, entre 300 et 350 spectateurs, Le cœur des membres de l’Orchestre Opal Sinfonietta bat très fort. Miguel Estrella est là.
C’était pour la restauration de la statue du Général San Martin, général exemplaire. Ce militaire qui, ayant accompli son destin, se retire laissant aux civils le soin d’organiser la démocratie et vient mourir à Boulogne-sur-Mer.

C’était pour l’amitié Franco-Argentine, l’amitié des deux peuples, au-delà des mers et des océans, on en sait quelque chose..
Alors vint Miguel Angel Estrella

La musique qui réunit les coeurs

Avant de laisser chanter son piano, Estrella présente en quelques mots simples son concert et rappelle ses expériences. Il nous dit « J’ai visité bien des lieux, la prison des Beaumettes à Marseille, la Palestine… d’autres pays en douleurs encore… ». Puis il cite cette réflexion lancée après un de ses concerts alors qu’il est à l’écoute de ses auditeurs cette fois « Cette musique c’est comme l’amour… ». « Non » fait quelqu’un, « cette musique c’est l’amour ». Le Mæstro a encore ajouté sa foi en la musique « qui rassemble les hommes par-dessus et au-delà des différences, des religions ».

Il n’est pas le seul à parler ainsi, car dans un autre lieu, il y a deux étés, à Saint Michel en Thiérache, Jordi Saval, le Catalan, parlait lui aussi dans ces termes en illustrant la musique des ménestrels et troubadours. Il disait aussi sa certitude en la musique fédératrice.

Ô temps ! Suspends ton vol

Bernard Schneider, directeur musical d’Opal Sinfonietta nous confie : « (… Ce fut une) rencontre avec une légende du piano, Miguel Estrella, cet homme exemple de courage, de générosité et de fraternité. Ce fut le bonheur pour un soir, partagé par des centaines de boulonnais, obscurs spectateurs ou célébrités locales.

Les travées du Théâtre Monsiqny, bien garnies, entre 300 et 350 spectateurs, Le cœur des membres de l’Orchestre Opal Sinfonietta bat très fort. Miguel Estrella est là, auparavant, il est venu saluer les musiciens, il restera tout au long de la prestation de l’orchestre dans les coulisses. Après la première partie du concert assurée par Opal Sinfonietta, la scène, drapée d’un rideau noir, ceint de rouge, se transforme en théâtre entièrement à la dévotion de l’Artiste.
Miguel Estrella a choisi un programme Romantique : Chopin, Fauré, Mendelssohn. Tout s’enchaîne admirablement. Son jeu se caractérise par une extrême simplicité, une rare efficacité, pas de grande démonstration.

De la chaleur, de la sérénité, de l’amour se dégagent de cet Homme. L’histoire du piano, l’Histoire du XXème siècle sont devant nous, quelle impression extraordinaire !
Tard dans la nuit, les musiciens se séparent :
 » Ô temps ! Suspends ton vol, et vous,
Heures propices !
Suspendez votre cours »
A bientôt, vite !

Première partie par Opal Sinfonietta

Il est environ 20 h 00. Miguel Angel Estrella est venu saluer les musiciens, il restera toute au long de la prestation de l’orchestre dans les coulisses. Et à 20h30, en ordre impeccable, l’orchestre s’installe. Claire saison et Emmanuel Gorge entament le magnifique double concerto de Jean Sébastien Bach, classique des classiques, chaque mouvement est ponctué d’applaudissements. Les solistes dialoguent, chantent, se répondent, les voix s’entrelacent, s’entrecroisent. L’orchestre est bon.

Ensuite viennent les tangos, programme presque obligé, mais cette musique parle au cœur et aux sens. Marc Schneider attaque la « balada para un loco » d’Astor Piazzolla. Merveilleux, l’émotion est partout sur scène, dans la salle.

Puis Adios Nonino, Oblivion : c’est encore Claire. Cette fois-ci, elle exprime la plus profonde douceur, la mélancolie, la nostalgie. Et puis, après plusieurs rappels, l’Opal Sinfonietta quitte la scène : bravo l’Orchestre, bravo les solistes !

Sur scène encore

Trois documents figuraient sur la scène : à gauche un grand buste en bronze du général San Martin. Il sera placé dans la crypte qui abrita ses restes pendant onze ans (de 1850 à 1861) avant de rejoindre la cathédrale de Buenos Aires. A droite une sculpture plus petite le représentant à cheval un bras tendu vers les cimes ; il ornera le bureau du maire. Puis un portrait en médaillon « hommage de l’armée de terre argentine pour le 100e anniversaire (de l’érection de la statue).

ESTRELLA AU THEATRE vendredi 23

Miguel Angel Estrella vient tout spécialement pour soutenir l’association « 1909-2009 Restauration de la statue du général San Martin ». On le sait, la statue a subi les marques du temps et même des temps. Il est temps de la restaurer. L’échafaudage dressé en ce moment permet aux artistes et ouvriers des interventions délicates.La Voix du Nord du lundi 12 octobre publie l’information centrée sur la vie et la carrière de Miguel Angel Estrella.