Retour sur un week-end actif

Le week-end du 28 au 29 mars a encore été bien chargé pour l’Opal Sinfonietta.

une petite équipe a animé musicalement « le printemps des poètes » à Verton, Marc et Olivier ont conquis un public de connaisseurs.

L’Orchestre s’est retrouvé en fin d’après-midi et a apporté sa pierre au SIDACTION. L’espace Maes a été réservé par les organisateurs. Joué, devant une salle pleine et bon enfant, le concert a particulièrement été apprécié. Les Contes d’Hoffman, Oblivion (Emmanuel Gorge au Violon très poignant, très expressif), Adios Nonino et Libertango étaient au programme. Un bis fut réclamé.


sur la photo, à droite, un « mystérieux photographe »

Opal Sinfonietta à St Léonard « un concert de très haute qualité »

« Un concert de très haute qualité » ainsi s’est exprimé le premier adjoint de la Commune de St Léonard.

Le Forum des Loisirs avait mis sa plus belle parure. Devant une salle comble, l’Orchestre Opal Sinfonietta a séduit par son brio et sa musicalité. D’emblée, l’ouverture « de la Dame Blanche » fit ressortir les qualités symphoniques de l’Orchestre : vigueur et délicatesse. Elle précéda une admirable interprétation de la Symphonie concertant de W. A. Mozart jouée au violon par Guillaume barli et à l’Alto par Frédéric Bara : fusion totale des deux solistes avec l’ensemble des musiciens.

Le reste du programme permit d’apprécier la suite orchestrale des Contes d’Hoffman de Jacques Offenbach et tous ces airs réunis qui émurent la nombreuse assistance. Le concert céda la place au « plus classique » des compositeurs de tango Astor Piazzolla. L’orchestre enchaîna un tendre « Oblivion », un « Adios Nonino » très pathétique et un éblouissant « Libertango ». Cette prestation valut à l’orchestre Boulonnais une ovation prolongée et méritée.

Félicitations aux organisateurs de ce beau spectacle, la ville de St Léonard, et au Conseil Général du Pas de calais pour son soutien.

SAINT LEONARD, concert du dimanche 22 mars 2009

Voici l’album photos. Un choix de « premier jet ». A suivreLa salle du Forum des loisirs s’emplissait peu à peu et vers 17 h 00, elle avait quasiment fait le plein. A peine encore trois minutes et l’orchestre s’installait sur la scène

Une petite mise en scène permet de lancer « la Dame Blanche » de Boïeldieu. « . Du au livret de Scribe d’après Walter Scott. Cet opéra comique eût un énorme succès. On note que 1675 représentations furent données tout au long de la période qui va de la création (décembre 1825) jusqu’à 1914. Londres eût droit à sa représentation en traduction en 1826.

Aussitôt après vint « la symphonie concertante pour violon et alto » K 364, de Mozart. Une conversation animée entre les deux cordes soulignées par l’orchesttre agissant comme un choeur. Une prestation des deux solistes unaniment appréciée, Guillaume Barli, violon, et Frédéric Bara, alto auxquels l’orchestre donna la réplique.

Pourquoi ce si grand succès pour une histoire qui apparaît banale à première vue ? On la connaît : Un château familial est réputé hanté. C’est la Dame Blanche… Impossible de vendre ce bien ? Il y a quand même vente. L’enchère est enlevée par un mystérieux personnage. Il doit payer, et un trésor enfoui est retrouvé fort à propos. On découvre que l’enchérisseur est un fils disparu !

Message caché ? Une thèse d’Olivier Bara (frère de l’altiste) argumente et démontre une structure thématique. 1 – Patrimoine immobilier : droits féodaux et familiaux inscrits dans la naissance ; 2 – Basculement de l’ordre, trahison et faute… ; 3 – Menace d’instauration d’un ordre fondé sur l’argent (le désordre risque de s’imposer définitivement…) ; 4 – restauration de l’ordre ancien, Une fin heureuse !

Le reste du programme s’en alla vers plus léger. « l’ouverture des contes d’Hoffmann » d’Offenbach mis en valeur par le violoncelle de Jehan Saison et le violon de Claire Saison. Un peu pus tard, les tangos apportèrent leur lot de cadence, d’évocations lointaines, de déchirements ou d’apaisements.

remerciements : aux services techniques de Saint Martin-Boulogne, pour la scène, de Saint Etienne-au-Mont pour la lumière, et au service culture (Monique Gervois) et au service technique, pour l’accueil, les facilités d’organisation, la mise à disposition des locaux du Forum, et les cent petits services que commandent les circonstances. Et remerciements au Conseil général du Pas-de-Calais, qui soutenait la mairie au titre de la diffusion artistique.

LE FEMINAIRE

« Un mot de travers : le mot « vieux » ! Pour que l’amour ait mal… « .
L’article de lancement

« Un mot de travers : le mot « vieux » ! Pour que l’amour ait mal… « . On imagine bien que la prose récitée ou lue par Jean Claude Drouot est loin de laisser indifférent. La réflexion sur la femme, l’amour qu’elle donne, celui qu’on lui porte… interpelle. Et quand viennent les accords fulgurants, touchants, émouvants du quatuor Ludwig… Alors là le public atteint la plénitude !

Amours éternels ou passsagers, et le temps qui passe et qui n’efface rien. On se prend à évoquer Ronsard « cueillez les roses… »Je n’ai jamais eu d’immortalité à vous proposer mais j’en ai les haillons… ». Réflexion éternelle. Le texte de Marcel Moreau invite à saisir l’instant parce qu’après viennent les souvenirs. Mais que de belles heures furent vécues. Notre édition de dimanche (8 mars, p.11) a dit l’essence de ce beau texte qui a traversé âges et sentiments. Mais n’encense pas tout ; ainsi nous blesse « la lettre à une excisée » !

Les illustrations musicales du quatuor Ludwig, merveilleusement choisies en symbiose avec le texte ajoutèrent à l’émotion. Evocations ; Brahms pour « Il y a dans ton corps qui s’affaisse… » ; I. Stravinsky : « Elle n’a jamais cessé ma louange à la femme… » : Et encore Shubert, dans l’illustration poignante de « Amour changeant mais cant… ».Chostakovitch, Bach.

Les « Ludwig » aiment à « mettre en interaction des disciplines aussi variées que le théâtre, la danse ou l’astro-physique ». J.-Ph. Audoli, violon, Elenid Owen, Padrig Fauré, alto, Anne Copery, violoncelle furent de parfaits illustrateurs du texte.

Ce dimanche (8 mars 2009) salle des Pipots, ce fut mission bellement accomplie pour la Journée de la Femme.

« Classique et Tango » à Saint-Léonard

Pour la deuxième année consécutive, l’Orchestre Opal Sinfonietta revient à Saint-Léonard. Après avoir mis en valeur, en 2008, le Violon et la Valse, il entraînera, cette année, le public de Mozart à Piazzolla, sur un programme intitulé « Classique et Tango ».

L’ouverture de la « Dame Blanche » de Boïeldieu sera suivie de la Symphonie Concertante pour Violon et Alto de WA Mozart. Cette œuvre majeure du répertoire Mozartien sera servie par Guillaume Barli, violoniste virtuose, bien connu des Boulonnais (les 24 Caprices de Paganini le 25 janvier dernier), et Frédéric Bara, Altiste et Compositeur de renommée.
Suivra un intermède avec Jacques Offenbach, surnommé par Rossini « le Mozart des Champs-Elysées », les Contes d’Hoffman et la célèbre Barcarolle, et ce sera des œuvres du plus « classique » des compositeurs de Tango Astor Piazzolla : Oblivion, Libertango, Adios Nonino…. L’Orchestre se lancera dans une démonstration de tango symphonique : idée aussi surprenante que réussie. L’interprétation en orchestre accentue l’âpreté, la sensualité et l’ardeur des thèmes traditionnellement joués par des ensembles rassemblant quelques instrumentistes.

Programme

1ère partie

• Ouverture de la Dame Blanche de Boieldieu

• Symphonie concertante pour violon, alto et orchestre en mi bémol majeur, K. 364, Wolfgang Amadeus Mozart.

2ème partie

• Suite pour Orchestre « Les Contes d’Hoffmann » de Jacques Offenbach

• Oblivion, Astor Piazzolla

• Noches de Milonga (auteur inconnu)

• Adios Nonino, Astor Piazzolla

• Libertango, Astor Piazzolla

LE LOCRO, une recette

Le locro est une soupe très roborative. suivez la recette, et si vous ne trouvez pas tout, adaptéz-vous ! Le locro

Recette pour 6 personnes ingrédients ¨ : 1 petite boite de mais doux( 150g) ; 150g de haricots blancs secs ,; 1 saucisse de porc chipolatas) coupée en rondelles ; 100g de lardons fumés ; 150g de tripes de bœuf coupés finement (vous pouvez remplacer par des morceaux de porc ou de bœuf) ; 1 carotte coupée en rondelles ; 1 pomme de terre coupée en quartiers ;1 bouillon Kub ; 2 c à café de curcuma en poudre ; 2 c à café de curry en poudre ; et une pincée de piment extra fort moulu.

La veille, faire tremper les haricots blancs secs. Dans une marmite, mettre les haricots blancs gonflés, les tripes, la carotte, le bouillon cube, le curcuma, le curry et le piment. Couvrir d’eau froide. Faire mijoter pendant 2 heures.

Puis ½ heure avant la fin de cuisson, ajouter la saucisse, les lardons
fumés, la pomme de terre et le maïs. Si la soupe est trop épaisse à votre
goût, rajouter un peu d’eau.

Bon appétit !

Quent à l’illustration elle n’a aucun sens ! Cherchez ce qu’elle représente !

Soulevez le couvercle : le locro fume et répand son odeur !

BEETHOVEN THEATRALISÉ…

« Sourires aux lèvres et commentaires appréciateurs…
Ainsi commence l’article de la Voix-du-Nord du 20 février 2009, qui relate la première de « Beethoven » d’Elo et Kordian.

Cex deux créateurs ont préparé leur pièce dans les locaux du Rollmops théâtre à Bmoulogne, et ils furent prêts pour trois représentations. Heureux spectateurs qui ont vu cette pièce. Elle part dans « les Mines »… Suivez l’actualité !

Voici l’article publié, tout y est.

Ainsi qu’une autre vision de la pièce.

Frédéric BARA

Audomarois d’origine, Frédéric Bara, quadragénaire, dédie sa vie à la musique…Frédéric BARA

…dédie sa vie à la musique

et plus particulièrement au violon. Il débute ses études musicales à l’Ecole Nationale de Musique de Saint-Omer. De retour à Lille, il obtient le diplôme de fin d’études d’écriture au Conservatoire de Lille.

Cette formation lui ouvre les vastes perspectives de la musique.

Séduit par l’Alto, la beauté de sa sonorité, sa puissance, il se consacre à cet instrument. Il intègre rapidement la classe d’alto de Paul Hadjaje, alto solo de l’Opéra de Paris. Plusieurs prix couronnent sa pratique : 1er prix et Prix d’Honneur au Conservatoire National de Région de Versailles.

Frédéric Bara obtient son diplôme de professeur, il est inscrit sur la liste d’aptitude du CNFPT. Il enseigne le violon et d’alto dans les écoles de musique de Lille-Lomme et Fâches-Thumesnil. Grace à ses qualités de pédagogues, les classes d’ensemble à cordes de ces écoles lui sont confiées.

Sa passion pour la Musique le conduit à participer à de nombreux ensembles orchestraux, partout, ses qualités musicales, ses compétences sont reconnues :
• Nouvel Ensemble Instrumental du Conservatoire National Supérieur de PARIS soliste à l’Orchestre symphonique de Douai,
• Soliste à l’Orchestre des Musiciens d’Europe.

Il est aussi responsable de l’Orchestre des Jeunes du Nord-Pas-de-Calais.

Auteur de plusieurs compositions, opéras et musique de chambre, ses œuvres sont souvent jouées. Une de ses compositions « Fantasia » a été jouée à Desvres le 3 octobre 2009 à l’occasion du 10e anniversaire de la chorale « Les Voix du Caraquet ». On l’entendra au Portel le 29 novembre 2009.

Il participe régulièrement aux activités musicales sur la Côte d’Opale et s’est produit en Argentine, accompagné par l’orchestre de la Plata, notamment en septembre 2008.

Avec Présence Ecoute le samedi 28 mars

L’association Boulonnaise Présence-Ecoute organise pour la deuxième année une série de manifestations destinées à receuillir des fonds pour la lutte contre le SIDA. Ces manifestations se dérouleront au cours de la deuxième quinzaine de mars 2009.

L’Opal Sinfonietta a été contacté pour apporter sa contribution musicale.
Un spectacle est en préparation pour le samdei 28 mars à partir de 15h00 salle Maes à Boulogne sur Mer : Chorales, orchestres ….

l’Orchestre se produira à 17h00.

Au porgramme:

– Les contes d’Hoffmann, suite de concert, de Jacques Offenbach.
– Noches de Milonga, d’Etheve
– Oblivion, d’Astor Piazzola
– Libertango,  »  »  »
– Adiios Nonino  »  »  »

le Directeur Musical

Bernard SCHNEIDER, directeur Musical
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Né à Abbeville, France, en 1956, de père alsacien et de mère allemande, il grandit dans une famille de neuf enfants, tous musiciens. A peine âgé de 7 ans, il entra au Conservatoire de sa ville natale. Ses cours de formation musicale furent prodigués par les Maîtres Albert Laurent , pianiste, compositeur, et André Bourdon , compositeur, ancien directeur du conservatoire Militaire de Musique de Ruel Malmaison. Ce sont les Professeurs Pierre Troude du Conservatoire National Régional d’Amiens, disciple du célèbre Paul Bazelaire, et Jean-Michel Chrétien de l’Orchestre National d’Ile de France qui lui enseignèrent le violoncelle.

Plusieurs fois primé en violoncelle au concours Bellan à Paris, il crée le groupe de musique de chambre Allegro. En 1977, il obtient ses prix de classe supérieure en instrument et en formation musicale.
Il pratique, durant deux années successives, la Viole de Gambe au sein du Festival de Musique Baroque d’Amiens. Ses pérégrinations professionnelles et familiales le conduisirent à intégrer temporairement l’Orchestre National des Chemins de Fer dirigé par Robert Blot, Chef d’Orchestre de l’Opéra de Paris, et à participer durablement à l’ Orchestre Harmono-symphonique de Tergnier.

Des responsabilités importantes l’éloignent quelque temps de la musique. Ingénieur à la SNCF, il participe très activement aux travaux liés au percement du Tunnel sous la Manche et à la construction de la ligne du TGV nord .

En 1999, Pierre Hautecoeur , chef d’orchestre et musicologue, lui fait rejoindre l’Orchestre Opal Sinfonietta , il lui propose d’en prendre la direction en juillet 2000 . C’est avec cet orchestre qu’il déploie ses qualités de directeur musical : analyse, direction, organisation.

Il se perfectionne dans la direction au contact de René Castelain, <img768|right>
Chef d’orchestre de l’armée de l’air, Marc Lajouanique, chef d’orchestre, Jean-Philippe Vanbeselaere , chef d’orchestre, compositeur, Michel Nierenberger , musicologue, compositeur, claveciniste. La Confédération Musicale de France lui décerne sa plus haute distinction nationale de Directeur de Société Musicale options Orchestre Symphonique et Orchestre d’Harmonie. Parallèlement à cette activité, il prend part à la vie d’autres ensembles : Orchestre de la Côte d’Opale, Orchestre de chambre de Roger Grémont, quatuor SNCF sous le parrainage de l’Orchestre National de Lille, création du quatuor Grupalli….
En septembre 2008, sur invitation de musiciens argentins, il dirige l’orchestre Estudio de La Plata.

D’une dizaine d’instrumentistes en 1999, l’Opal Sinfonietta comporte aujourd’hui plus de cinquante musiciens, son rayonnement musical s’est développé jusqu’aux capitales régionales du Nord de la France (Lille, Amiens, Calais, Boulogne/Mer…) et à l’étranger comme à Zweibrücken (Allemagne). Buenos Aires, Tucuman, La Plata, San Nicolas de los Arroyos, Tafi Viejo et Conception (Argentine, août 2006,  juillet 2010, août 2016), Montevideo (Uruguay, juillet 2010) Budapest, Szolnok (Hongrie 2007), Qingdao (Chine 2018).

De formation musicale française, Bernard Schneider ambitionne de porter haut et loin l’art de son pays. Il emporte l’adhésion des musiciens et du public grâce à son enthousiasme, sa générosité et ses qualités musicales.