FAITES CONNAISSANCE AVEC KIWANIS

KIWANIS ! Ce nom va vous devenir familier… Son slogan : « servir les enfants du monde » Un sous-titre précise : « l’aide à l’enfance reste le programme privilégié. » La rencontre KIWANIS et UNICEF était évidente .

En toute générosité, le premier organise le concert donné pour le second et pour son seul profit, le 16 novembre prochain.

De la sémantique

Le premier club est né le 21 janvier 1915 aux Etats-Unis, à Detroit (Michigan). Le mot indien signifie « Nous avons plaisir à partager nos talents ». En langage indien cela se dit « nunkee-wan-nis », mais il est devenu « kiwanis ». Faute du préfixe « nun » le mot écourté signifie « expression de soi-même ». On perçoit dès lors tout le contenu généreux qui préside aux actions des clubs KIWANIS.

L’expansion L

Les années 1960 voient enfin le concept traverser l’Atlantique. Depuis les USA création en 1915 à Detroit puis au Canada c’est en 1961 à Vienne et en 1965 en France que KIWANIS s’implante. Des bonnes volontés, on en compte ! Huit cents clubs en Europe réunissent 32 000 membres, en France 255 clubs et 5 000 membres. La famille KIWANIS est présente dans cent pays et regroupe 600 000 membres.

Les grandes actions

La présence d’un KIWANIS dans une ville peut très bien soutenir des actions très ciblées et locales, ou porter sur de grandes causes comme les chiens guides d’aveugles, les dons d’organes, ou la mucoviscidose… Exemple, le KIWANIS d’Amiens a offert le produit d’un concert pour remettre un chien à un handicapé et soutenir les éducateurs de chiens d’aveugles. Le financement des actions vient d’initiatives diverses.Parmi les actions, il y a une aide à l’achèvement d’un centre de soins dans le Haut Atlas Marocain, vallée des Oussertek.

Aussi, actuellement (décembre 2008) la vente de ballotins de chocolat par les collégiens et lycéens d’Haffrengue. D’un prix modique tout le monde devrait garnir son arbrre de Noël et le bénéfice ira aux enfants hospitalisés à Boulogne.

Communiquer

L’association des clubs KIWANIS est 45 rue Pasteur, 10350 Marigny-le-Châtel. www.kiwanis.fr. président sur le Boulonnais, Me Gilles Pannier, bld de la Liberté, 62 OUTREAU. Téléphone : 06 08 33 70 73. Courriel : kiwanisboulogne@voila.fr

.

Chorale et orchestre en répétition pour le 16 novembre

Enfants et musiciens, tous unis pour l’UNICEF à travers l’organisation de KIWANIS. Le concert du dimanche 16 novembre (17 h 00) met en avant les enfants qui chanteront pour la paix.Grande affluence dans la salle de répétitions de Condette ce jeudi 6. Les enfants des écoles Saint Charles de Saint Martin-Boulogne et de ND du Rosaire de Condette ont rejoint l’orchestre pour une première répétition.

Ce soir là c’était « Lili » (de Pierre Perret) et d’autres airs prévus pour le concert qui étaient répétés. Près de soixante enfants et tout l’orchestre ont mis en commun les voix et les sons. Fraîcheur des voix, ampleur de la musique. Frédéric Joly, chargé de la direction de ce concert, a canalisé l’enthousiasme des enfants qui ont dû s’adapter à l’orchestre… Encore une répétition le jeudi 13 novembre avant le grand rendez-vous du 16.

Comme on le sait – voir les articles précédents – l’ UNICEF sera le bénéficiaire du produit net de ce concert. Il est organisé par KIWANIS dont nous vous parlerons. Cette association qui a le souci d’aider aussi les enfants est déjà connue ici par le concert auquel nous avons participé à Amiens. Il s’agissait d’une donation pour des chiens guides pour les jeunes handicapés. (mars 2008).


Voici les photos de cette première répétitiion qui s’est tenue ce jeudi 6 novembre à Condette.

UNICEF le concert du 16 novembre

L’UNICEF donne rendez-vous à tous pour ce dimanche 16 novembre à 17 h 00. Cette association a confié l’organisation à KIWANIS. Toutes deux ont le souci de servir les enfants du monde.On trouvera par ailleurs, dans cette rubrique « actualités » le programme, et tous les renseignements utiles. (Entrée 8 €, 4 € ou gratuit selon l’âge).

L’affiche commence a vous être familière puisque notre équipier Daniel fait en ce moment le tour des vitrines pour qu’elle soit mise en valeur.

Nous avons eu, dans le comité d’organisation, à choisir le meilleur dessin. parmi 86 proposés. Il illustre le concept de la paix dans le monde. Vaste sujet et qui mérite bien qu’on mette en avant une célèbre chanson « Quand les hommes vivront d’amour ». Vite !

Voici l’image du choix, et celle de l’affiche.

LA GARDE REPUBLICAINE A BOULOGNE

Voici l’article de présentation du concert du 14 novembreLa Voix du Nord publie l’annonce de ce concert et de son programme. Contrairement à ce qui est écrit, et qui a fait l’objet d’un erratum, l’heure est 20 H 00 et le billet d’entrée est à 5 Euros (et non 10).

Pourquoi mettre en exergue cette information ? Mais parce que notre ami Guillaume Barli sera du vconcert. Nous nous réjouissons de le rencontrer.

Relisez notre site  » Argentine  » dans lequel nous donnons des nouvelles de Guillaume qui a régalé les Argentins de la Plata par son concert Paganini, puis le master class donné aux élèves du conservatoire, et enfin au concert du 6 septembre au salon de la maison du Gouvernement, pour un Mozart pour violon; alto et orchestre… toujours à la Plata.

Quand les Hommes Vivront d’Amour…..

concert au Profit de l’UNICEF, organisé par le Kiwanis club, avec la participation de la ville de Boulogne sur mer, les écoles et collèges de Boulogne, CondetteVOICI ce qui passera sur les écrans à Auchan et ailleurs …….

Dimanche 16 novembre 2008

Eglise St François de sales à Boulogne/mer

Programme

Cantate « die friede sei mit dir » de JS Bach

Quand les hommes vivront d’amour de R. Lévêque avec chœur et ténor

Alleluia de L. Cohen avec soprano

Au pays mystique d’Egypte de Kételbey

Casta Diva de Bellini avec Soprano et choeur

Ouverture de Nabucco de Verdi

Lilly de P. Perret avec choeur

Sur un marché persan de Kételbey

Utopies de Suzanne Dernis (poème)

Quand on n’a que l’amour de J. Brel avec chœur

Samedi 13 décembre à Ferques

A l’iniative de la Municipalié de ferques, remprésentée par Henri Reymbault, l’Orchestre se présentera le samedi 13 décembre 2008 à 20h30 dans un programme intitulé « Violons, valses et tangos »

au programme
Violons, valses et tangos

Programme

1ère partie
Ouverture de Nabucco de Verdi

Au pays mystique d’Egypte de Kétekbey

Marta de Von Flotow, chanteur Marc Schneider

Totally Tango de P. Martin

La Princesse Czarda d’E. Kalman

Petite Suite Boulonnaise de Michel Lefevre

Tango Argentina d’E. Rosse,

2nde partie

Rêve de Valses d’O. Straus

Maldito Nostalgias tango de Joachim Johow

Oblivion d’Astor Piazzolla par Claire Saison, violon, soliste Claire saison

Sur un marché persan de Kételbey

Le beau Danube bleu, Valse, de J. Strauss

(en bis éventuellement danse N°5 hongroise de Brahms, marche de Radetzki de J. Strauss)

FILLIEVRES, les comptes rendus

à Fillièvres, tout près d’Hesdin. C’était « Sillons de culture ». Parmi les 14 villages ouverts à des animations très variées et éclectiques, Fillièvres nous avait réservé son église. Public nombreux. Plaisirs partagés.

Voici les extraits de presse :

la Voix du Nord

L’Abeille de la Ternboise

Le Journal de Montreuil

Gabriela Ungureanu en concert à Szolnok le 6 octobre

Une suite de la tournée hongroise 2007 de l’Opal Sinfonietta
„Aba-Novák” bérlet műsora:
Helyszín: Aba-Novák Kulturális Központ Liszt Ferenc Hangversenyterme

1. 2008. október 6. hétfő 19.00
Évadnyitó hangverseny

Vezényel: Bali József

[http://www.szolnokiszimfonikusok.hu/aktualis.html->http://www.szolnokiszimfonikusok.hu/aktualis.html]

à lire sur le site de l’orchestre symphonique de Szolnok, Gabriela a joué lundi 6 octobre 2008 le concerto de Grieg, sous la direction de Joseph Bali.

Félicitations à gabriela!

L’Orchestre Camareta Estudio

Encore des articles sur l’Argentine? Bien sûr, bonne lecture …
d’autres photos seront bientôt ajoutéesLe 7 septembre 2008 : concert au Palais du Gouverneur de La Plata

L’Orchestre Camareta Estudio : orchestre de chambre d’étudiants

Cet ensemble a été créé pour l’occasion. le Professeur Bagnati et Ignacio Rivas en sont les instigateurs.

On y retrouve en particulier les amis musiciens de nos 3 argentins, renforcés pour certains pupitres de musiciens professionnels. Au total, un ensemble de 16 musiciens : 4 1ers violons, 3 seconds, 2 altos, 2 violoncelles, 1 contrebasse, 2 hautbois et deux cors.

Les Cordes

Le 1er violon solo : cette fonction est assurée par le Professeur José Bagnati. La petite quarantaine, des lunettes, deux cheveux abondants légèrement grisonnants, allure fine et élancée. En 2006, nous avions fait sa connaissance. Il enseigne la violon au Conservatoire Gilardo Gilardi, il a aussi des élèves altistes. Il a écrit une méthode très complète pour apprendre le violon.

Assis au premier rang, à sa gauche, se tient Juan Ignacio Rivas. Depuis quelques mois il a trouvé un emploi dans l’orchestre des jeunes du treatro argentino. Cela lui procure une rémunération assez intéressante, et lui permet de continuer à prendre des cours. Il apprend depuis toujours avec le Professeur Bagnati. Une complicité se dégage de leur relation, des rires, des clins d’œil, des regards amusés, puis la concentration. Chaque arrêt provoque un changement de coup d’archet, une modification de liaison, qu’immédiatement note le reste de l’orchestre. Ce duo est complémentaire et efficace.

Au second rang, Branda. Cette jeune violoniste doit avoir 15 ans, les cheveux noirs, bouclés, fine, frêle, la beauté de l’âge. Elle assure très bien, bonne technique, précision des attaques, très concentrée. A ses côtés la soliste de l’Opal Sinfonietta Madame Saison (C’est de cette façon que s’exprime la presse local). Elle a bien étudié les partitions, elle se bat avec les nouveaux coups d’archet, elle surveille le duo placé devant elle, et signalera à la fin du concert que parfois elle était la seule à jouer.

Les seconds violons : trois instrumentistes. Il y a Eugenia, Ernestina et Yvan.

Les deux filles sont superbes. Elles rivalisent de talent et d’intelligence, ça se voit dans les yeux. Yvan est un jeune musicien, grand, élancé. C’est un excellent pupitre, d’une rare efficacité : précision, musicalité, régularité (très important au 2nd violon).

Au pupitre des altistes, Natalia et Esteban. Natalia est la petite amie d’Ignacio, elle est toute menue et très gracieuse, le regard est pénétrant, noir, beaucoup de charme.

Elle apprend l’alto avec Monsieur Bagnati depuis deux ans, pourtant la partition est dans les doigts, et même si aux répétitions, en l’absence d’Esteban, elle se sentait bien seule, elle s’affirmera sûre et précise dans ses interventions. Esteban a la trentaine, dans ce pays on peut commencer l’instrument à tout âge et s’y consacrer à plein temps. C’est un professionnel, il joue dans l’orchestre de chambre de la Municipalité de La Plata. Esteban est un excellent musicien, il comprend tout, tout de suite, c’est un artiste, il faut le voir se balancer sur sa chaise, ses gestes sont très expressifs, un vrai spectacle.

J’en arrive aux violoncelles, vous savez l’affection que j’éprouve pour cet instrument, là, j’ai été gâté. Elle ne sont que deux (On n’a pas trouvé de violoncelle pour Marc), mais c’est la grande classe. Belen doit avoir 18 ans, jeune, grande, élancée, brune, beaucoup de grâce dans le geste, le regard.

Veronica, violoncelle solo, à peine vingt cinq ou trente ans. Son père est professeur de violoncelle au Conservatoire Gilardo Gilardi. Elle maîtrise l’instrument parfaitement. Toutes deux jouent comme il est souhaitable : nuances, rythme, l’ardeur : le pied quoi !

Le contrebassiste s’appelle Gabriel, vous le connaissez.

Depuis un an, il a fait des pas de géants. Il fait plus qu’assurer, il domine, il faut voir son regard lorsqu’il joue, c’est la concentration, l’intégration, et sur lui-même l’expression de la musique. Il a rasé son crâne. C’est un véritable régulateur : au sens cheminot du mot, allusion à ces engins qui équipaient les locomotives à vapeur afin de permettre au mécanicien de régler sa vitesse et de « faire l’heure ».

Les instruments à vent. En nombre suffisant, et ô combien efficace !.

Deux hautboïstes :
Sylvia, la trentaine, de petite taille, jolie, elle a le regard accroché à mon bras, un œil sur la partition. Ses interventions sont précises, délicates, dans l’esprit. pour jouer Stamitz, il n’y aura pas de clarinettes, à défaut : les hautbois. Il faut bien s’adapter, c’est le propre de la musique et des musiciens : les sens doivent rester en éveil pour contrôler tous les paramètres intérieurs et extérieurs ; Dans la cas présent, les hautbois essaient de sonner autrement et c’est très concluant. Nous retrouverons plusieurs fois Sylvia, la dernière fois ce sera au théâtre municipal et le repas, elle officie dans l’orchestre de Chambre.

La deuxième instrumentiste est plus discrète : grande, des origines indiennes probablement, brune. Elle chauffe son instrument méticuleusement et accomplit avec talent sa tâche. Difficile de faire plus ample connaissance, après le concert elle disparaît rapidement.

Les cors : le mieux du possible
Deux instrumentistes : Victoria et Javier
Victoria n’est pas très grande, fine, la trentaine. C’est une très bonne instrumentiste, quelques rares erreurs, et un son très Mozartien. Javier l’accompagne avec fidélité et sûreté : un beau pupitre !

L’acoustique du salon doré du Palacio Gorbenador.
Grand parallélépipède au dimensions heureuses, parfaite proportion entre le nombre de musiciens et son volume. Les sons sont rendus avec fidélité, la réverbération suffisante et avantageuse.

Les solistes :
Se référer aux autres articles parus, très grosse impression de Guillaume, Frédéric et la révélation Santagio Muños au bandonéon.

La Partition de la Symphonie Concertante dédicacée par tous les musiciens du 7 septembre 2008 (Fernand a réalisé le fond de page)